BAVURES DES ELEMENTS DE SANGARIS EN CENTRAFRIQUE
Des soldats français de l'opération Sangaris à Bangui le 25 décembre 2013 Crédit : AFP / MIGUEL MEDINA
L’arrivée des troupes françaises de l’opération SANGARIS dans les villes de l’est de Centrafrique a été à l’origine de la panique au sein de la population conformément aux comportements contre les musulmans de celles-ci à Bangui. Leurs déploiements ont commencé à corroborer la thèse de semeurs de troubles car le 23 avril 2014, une fille de 16 ans vendeuse à la sauvette a été violée par deux éléments français de SANGARIS basés à Bria. Ce viol a été suivi de la livraison de cette jeune fille SIDONIE pour une promesse de 40.000 FCFA à leur chien de guerre qui après les relations sexuelles atroces a occasionné des blessures sur cette dernière. Les faits se sont produits à l’aérodrome de Bria. Suite à l’intervention d’un jeune homme, cette fille a été conduite à l’hôpital préfectoral de Bria pour des soins. Ces éléments ont proféré des menaces à l’endroit de la fille et du jeune homme pour une éventuelle propagation de la nouvelle. Cet évènement a suscité la colère les jeunes de quartier Bornou à Bria qui ont utilisé des jets de mangues pourries pour lancer sur les militaires français.
Une semaine avant, le même acte s’est passé à Bambari sur une fille sans son consentement et qui aurait perçu 50.000 FCFA au moment où les populations accueillaient chaleureusement les déplacés et retournés venus de Bangui.
Aussi, les militaires français se livrent également à l’exploitation illégale de la faune, du diamant et des minerais divers par les gros tracteurs. Les chasseurs aperçoivent souvent l’atterrissage des hélicoptères dans les galeries forestières sur les axes Bria-Ippy et Bria –Ouadda. Deux militaires sont morts suite aux morsures de serpent à 25km de Bria axe Ippy le 15 avril 2014.
L a ville de Bria est restée calme après la panique le jour de l’arrivée des forces SANGARIS. La situation est maîtrisée grâce aux actions du comité des sages, du comité de sensibilisation avec l’appui de la radio Baranbgaké qui ont fait un travail formidable pour rassurer la population et rappeler les forces françaises sur leurs missions.
La France risque une traversée du désert dans cette partie de la Centrafrique où la majorité des populations sont favorables à la partition. Affaire à suivre…
Pour le Parti Politique FRONT DU PEUPLE LIBRE (FPL)
Dr HAMAT MAL-MAL Essène : malmalesseine@yahoo.fr
Une semaine avant, le même acte s’est passé à Bambari sur une fille sans son consentement et qui aurait perçu 50.000 FCFA au moment où les populations accueillaient chaleureusement les déplacés et retournés venus de Bangui.
Aussi, les militaires français se livrent également à l’exploitation illégale de la faune, du diamant et des minerais divers par les gros tracteurs. Les chasseurs aperçoivent souvent l’atterrissage des hélicoptères dans les galeries forestières sur les axes Bria-Ippy et Bria –Ouadda. Deux militaires sont morts suite aux morsures de serpent à 25km de Bria axe Ippy le 15 avril 2014.
L a ville de Bria est restée calme après la panique le jour de l’arrivée des forces SANGARIS. La situation est maîtrisée grâce aux actions du comité des sages, du comité de sensibilisation avec l’appui de la radio Baranbgaké qui ont fait un travail formidable pour rassurer la population et rappeler les forces françaises sur leurs missions.
La France risque une traversée du désert dans cette partie de la Centrafrique où la majorité des populations sont favorables à la partition. Affaire à suivre…
Pour le Parti Politique FRONT DU PEUPLE LIBRE (FPL)
Dr HAMAT MAL-MAL Essène : malmalesseine@yahoo.fr