Au sortir de l’audience, le ministre Bilie-By-Nze, a répondu à la presse sur l’objet de leur entretien avec Denis Sassou N’Guesso. Selon lui, le comité de pilotage des reformes de la CEEAC a travaillé avec la contribution des ministres des 11 pays membres de cette institution sous régionale, dont ceux de la République du Congo.
A l’issue des travaux de ce comité, cinq textes fondamentaux ont été adoptés. Alain Claude Bilie-By-Nze a, notamment, cité le traité révisé de la communauté, le protocole Copax, en termes le mécanisme de paix et sécurité, le cadre organique de la communauté, le règlement financier et le statut du personnel. Ces textes, a-t-il souligné, sont très importants « dans le mesure où nous devons relancer absolument notre communauté ».
Au cours de l’audience, le président Denis Sassou N’Guesso a rappelé que la communauté économique était « potentiellement la plus riche, de par ses ressources naturelles et ressources humaines », alors qu’elle fonctionnait le moins bien jusqu’à ce jour.
Le ministre gabonais des affaires étrangères, a par ailleurs, indiqué que le mandat de la réforme qui a été confié à la présidence du Gabon a permis aujourd’hui d’avoir des textes révisés grâce au concours des experts des Etats et de la CEEAC également. « Nous sommes donc dans l’attente de la tenue d’un sommet des chefs d’Etat qui va donc entériner la réforme », a-t-il poursuivi.
Selon Alain Claude Bilie-By-Nze, après avoir reçu les documents, il reviendra au président Denis Sassou N’Guesso de les « regarder avec son gouvernement et d’indiquer au Comité de pilotage des éventuels amendements à intégrer dans le cadre du sommet à venir ».
Répondant à la question relative aux objectifs poursuivis par ces réformes, le ministre gabonais a clairement déclaré qu’il « s’agissait d’avoir une communauté plus fonctionnelle qui serait au service des populations et qui remplirait sa mission dans le cadre de l’intégration régionale et qui mettrait en œuvre le programme déjà arrêté au niveau de la CEEAC avec les Etats ».
Le ministre gabonais a indiqué qu’il y a un programme qui intègre un certain nombre de grands domaines, tels que la paix, la sécurité, l’environnement, le développement durable, le climat et la question des infrastructures ainsi que celle de l’interconnexion entre les différents pays.
Les textes transmis au président Denis Sassou N’Guesso « visent précisément à mettre en œuvre un nouvel exécutif qui va pouvoir faire en sorte que la communauté atteigne les objectifs que les pères fondateurs lui ont assignés », a conclu le ministre gabonais des affaires étrangères.
A l’issue des travaux de ce comité, cinq textes fondamentaux ont été adoptés. Alain Claude Bilie-By-Nze a, notamment, cité le traité révisé de la communauté, le protocole Copax, en termes le mécanisme de paix et sécurité, le cadre organique de la communauté, le règlement financier et le statut du personnel. Ces textes, a-t-il souligné, sont très importants « dans le mesure où nous devons relancer absolument notre communauté ».
Au cours de l’audience, le président Denis Sassou N’Guesso a rappelé que la communauté économique était « potentiellement la plus riche, de par ses ressources naturelles et ressources humaines », alors qu’elle fonctionnait le moins bien jusqu’à ce jour.
Le ministre gabonais des affaires étrangères, a par ailleurs, indiqué que le mandat de la réforme qui a été confié à la présidence du Gabon a permis aujourd’hui d’avoir des textes révisés grâce au concours des experts des Etats et de la CEEAC également. « Nous sommes donc dans l’attente de la tenue d’un sommet des chefs d’Etat qui va donc entériner la réforme », a-t-il poursuivi.
Selon Alain Claude Bilie-By-Nze, après avoir reçu les documents, il reviendra au président Denis Sassou N’Guesso de les « regarder avec son gouvernement et d’indiquer au Comité de pilotage des éventuels amendements à intégrer dans le cadre du sommet à venir ».
Répondant à la question relative aux objectifs poursuivis par ces réformes, le ministre gabonais a clairement déclaré qu’il « s’agissait d’avoir une communauté plus fonctionnelle qui serait au service des populations et qui remplirait sa mission dans le cadre de l’intégration régionale et qui mettrait en œuvre le programme déjà arrêté au niveau de la CEEAC avec les Etats ».
Le ministre gabonais a indiqué qu’il y a un programme qui intègre un certain nombre de grands domaines, tels que la paix, la sécurité, l’environnement, le développement durable, le climat et la question des infrastructures ainsi que celle de l’interconnexion entre les différents pays.
Les textes transmis au président Denis Sassou N’Guesso « visent précisément à mettre en œuvre un nouvel exécutif qui va pouvoir faire en sorte que la communauté atteigne les objectifs que les pères fondateurs lui ont assignés », a conclu le ministre gabonais des affaires étrangères.