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Regard rétrospectif sur les 50 dernières années?


Alwihda Info | Par Alwihda Info - 20 Octobre 2010


« Le gouvernement tchadien a une politique qui vise à vaincre et combattre l’insécurité alimentaire à l’échelon national par l’augmentation durable de la productivité et du niveau de production.», a indiqué le ministre tchadien de l’agriculture Pahimi Padacke Albert


 A l’occasion de la journée mondiale/téléfood 30ème édition célébrée du 15 au 16 octobre 2010 à N’Djaména, le ministre de l’agriculture et de l’irrigation a indiqué dans son discours de lancement de la fête qu’il faut nécessairement jeter un regard rétrospectif sur les 50  dernières années, à commencer par les questionnements réponses  aux sujets de la faim. Il informe que cette journée marque aussi 65ème anniversaire de la fondation de la FAO. Ce qui doit selon lui permettre de mesurer des efforts réalisés en faveur de la lutte contre la faim dans le monde. On doit commencer par ce pays de Toumaï pour viser l’évaluation de différents appuis aux producteurs agricoles pour la satisfaction aux besoins alimentaires des populations, relève le ministre Pahimi Padacke Albert.

 

Le thème choisi est «  unis contre la faim ».  Selon le ministre, ce thème n’est pas fortuit car l’accès à l’alimentation est devenu une denrée rare et une préoccupation majeure de l’ensemble de la communauté internationale. Le ministre souligne que la persistance de  l’insécurité alimentaire a fini par interpeller les dirigeants de la planète de promouvoir de nouveaux investissements dans le secteur rural pour faire face aux défis que représente le changement climatique.  Il informe qu’un milliard de personnes soufre de la faim dans le monde. Cela est dû à la flambée des prix des denrées alimentaires et de la crise financière siffle Pahimi Padacke Albert. Le 1er de l’agriculture regrette les retombées de cette crise qui ont fortement affecté les efforts du monde. Il rassure que le gouvernement tchadien a une politique qui vise à vaincre et combattre l’insécurité alimentaire à l’échelon national par l’augmentation durable de la productivité et du niveau de production.  Cette ambition du gouvernement demeure non seulement l’autosuffisance alimentaire, mais aussi le devenir à moyen terme. C‘est à dire un pays pourvoyeur des denrées alimentaires pour la sous-région et pour l’Afrique. Cet objet, di-il, fait l’objet d’une attention particulière de hautes autorités nationales singulièrement de l’engagement personnel du chef de l’Etat IDI. De son avis, vaincre la faim relève de l’action commune et interaction entre partenaires et le gouvernement.  Il insiste que ce combat consiste à prioriser la production agricole.  Toujours, additionne-t-il,  en réponse à l’insécurité alimentaire et à travers la lutte contre la désertification  un programme régional de la construction de la Grande Muraille Verte est déjà en chantier. Le chef du département de l’agriculture rapporte que lors du premier sommet des chefs d’Etat, le Président a déclaré que « la Grande Muraille Verte est un Projet conçu par les Africains pour les Africains et pour les générations futures. C’est une contribution de l’Afrique à la lutte contre le réchauffement climatique ».

A cet effet, le gouvernement du Tchad s’est engagé résolument à barrer la route à la dégradation des terres et à la pauvreté dans la région sahélo-saharienne. Aussi faut-il dire, le Tchad souscrit au principe de s’unir par delà, des frontières pour faire face à la menace du désert et son corollaire la sécheresse, source de famine.  Ceci pour expliquer que le Tchad est  parfaitement dans la logique  du thème «  unis contre la faim ».

 

S’unir contre la faim devient un engagement individuel et collectif pour dénoncer le caractère immoral de ce phénomène, car le constat rétrospectivement fait est partout dans le monde très amer conclut le ministre Pahimi Padacke Albert.

                                                                                           Gandié 

 



 

Le thème choisi est «  unis contre la faim ».  Selon le ministre, ce thème n’est pas fortuit car l’accès à l’alimentation est devenu une denrée rare et une préoccupation majeure de l’ensemble de la communauté internationale. Le ministre souligne que la persistance de  l’insécurité alimentaire a fini par interpeller les dirigeants de la planète de promouvoir de nouveaux investissements dans le secteur rural pour faire face aux défis que représente le changement climatique.  Il informe qu’un milliard de personnes soufre de la faim dans le monde. Cela est dû à la flambée des prix des denrées alimentaires et de la crise financière siffle Pahimi Padacke Albert. Le 1er de l’agriculture regrette les retombées de cette crise qui ont fortement affecté les efforts du monde. Il rassure que le gouvernement tchadien a une politique qui vise à vaincre et combattre l’insécurité alimentaire à l’échelon national par l’augmentation durable de la productivité et du niveau de production.  Cette ambition du gouvernement demeure non seulement l’autosuffisance alimentaire, mais aussi le devenir à moyen terme. C‘est à dire un pays pourvoyeur des denrées alimentaires pour la sous-région et pour l’Afrique. Cet objet, di-il, fait l’objet d’une attention particulière de hautes autorités nationales singulièrement de l’engagement personnel du chef de l’Etat IDI. De son avis, vaincre la faim relève de l’action commune et interaction entre partenaires et le gouvernement.  Il insiste que ce combat consiste à prioriser la production agricole.  Toujours, additionne-t-il,  en réponse à l’insécurité alimentaire et à travers la lutte contre la désertification  un programme régional de la construction de la Grande Muraille Verte est déjà en chantier. Le chef du département de l’agriculture rapporte que lors du premier sommet des chefs d’Etat, le Président a déclaré que « la Grande Muraille Verte est un Projet conçu par les Africains pour les Africains et pour les générations futures. C’est une contribution de l’Afrique à la lutte contre le réchauffement climatique ».

A cet effet, le gouvernement du Tchad s’est engagé résolument à barrer la route à la dégradation des terres et à la pauvreté dans la région sahélo-saharienne. Aussi faut-il dire, le Tchad souscrit au principe de s’unir par delà, des frontières pour faire face à la menace du désert et son corollaire la sécheresse, source de famine.  Ceci pour expliquer que le Tchad est  parfaitement dans la logique  du thème «  unis contre la faim ».

 

S’unir contre la faim devient un engagement individuel et collectif pour dénoncer le caractère immoral de ce phénomène, car le constat rétrospectivement fait est partout dans le monde très amer conclut le ministre Pahimi Padacke Albert.

                                                                                           Gandié 

 




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