Sonorisation, caméras, vidéoprojecteurs, bref toutes les commodités techniques pour la tenue des sommets de haut niveau sont réunies dans la salle présidentielle. Florent Ntsiba, directeur du cabinet du président de la République du Congo, a fait le constat sur l’état de cette salle ce mardi 17 octobre 2017. Il a voulu personnellement s’assurer que tout est réglé et que les deux sommets, se tiendront sans anicroche.
Conçue pour accueillir les assises de cette taille, la salle présidentielle dispose d’une capacité d’accueil de 75 chefs d’Etat dont chacun peut se faire accompagner de quatre collaborateurs, soit 375 personnes. Selon la présentation faite par les techniciens au directeur du cabinet du chef de l’Etat congolais, toutes les dispositions techniques ont été prises pour une bonne tenue des travaux de ces deux sommets. Les secrétariats de deux réunions sont installés non loin de la salle présidentielle où les cabinets d’interprétariat ont également été aménagées.
Les journalistes accrédités en grand nombre pour couvrir ces deux réunions de haut niveau disposent d’une salle de presse équipée d’ordinateurs où la connexion internet fournie par la fibre optique. Ceux d’entre eux qui n’auront pas accès à la salle présidentielle, suivront la retransmission en direct des cérémonies d’ouvertures et de clôtures, à l’écran dans la salle de presse où il est placé un poste téléviseur câblée sur canal SAT. Une autre salle attenante à la salle de presse servira de cafète pour les journalistes qui, au rythme des travaux, passeront, probablement toute la journée au centre international de conférences de Kintélé.
Il sied de préciser que le 7ème sommet ordinaire de la CIRGL qui se tiendra en matinée, le 19 octobre a pour thème : « Accélérer la Mise en Œuvre du Pacte en Vue de Faciliter la Stabilité et le Développement dans la Région des Grands Lacs ». Il sera notamment ponctué par l’accession du Congo à la tête de cette organisation.
Le second sommet concerne la 8ème réunion de haut niveau du Mécanisme régional de suivi de l’Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la RDC et la région. Au cours de ces assises, les chefs d’État et de gouvernement examineront l’évolution de la situation politique et de la sécurité dans la région depuis leur dernière réunion de Luanda, en Angola, le 26 octobre 2016.
Leurs discussions porteront principalement sur la mise en œuvre des engagements pris. Il s’agira de plancher sur les mesures visant à résoudre les problèmes en suspens, en rapport avec la neutralisation des forces négatives dans l’Est de la République Démocratique du Congo, notamment les ADF, les FDLR, le rapatriement des combattants étrangers désarmés dans cette partie de la RDC et dans les pays voisins. D’autres questions, telles le dialogue en cours et le processus politiques en RDC, au Burundi, au Soudan du Sud et en République Centrafricaine En novembre dernier.
Le Mécanisme régional de suivi est le principal organe de contrôle de l’application de l’Accord-cadre. Il se réunit une fois par an au niveau des Chefs d’État et de Gouvernement pour examiner les progrès accomplis dans la mise-en-œuvre des engagements nationaux et régionaux pris au titre de l’Accord-cadre, signé le 24 février 2013 à Addis-Abeba, en Ethiopie.
Outre les garant de l’Accord-cadre, dont l’ONU, l’UA et autres le mécanisme compte 13 pays, l’Afrique du Sud en faisant partie. Les mêmes pays composent la CIRGL, à savoir : l’Angola, le Burundi, la Centrafricaine, le Congo, la R.D Congo, le Kenya, le Rwanda, le Soudan, le Soudan du Sud, la Tanzanie, l’Ouganda et la Zambie.
Conçue pour accueillir les assises de cette taille, la salle présidentielle dispose d’une capacité d’accueil de 75 chefs d’Etat dont chacun peut se faire accompagner de quatre collaborateurs, soit 375 personnes. Selon la présentation faite par les techniciens au directeur du cabinet du chef de l’Etat congolais, toutes les dispositions techniques ont été prises pour une bonne tenue des travaux de ces deux sommets. Les secrétariats de deux réunions sont installés non loin de la salle présidentielle où les cabinets d’interprétariat ont également été aménagées.
Les journalistes accrédités en grand nombre pour couvrir ces deux réunions de haut niveau disposent d’une salle de presse équipée d’ordinateurs où la connexion internet fournie par la fibre optique. Ceux d’entre eux qui n’auront pas accès à la salle présidentielle, suivront la retransmission en direct des cérémonies d’ouvertures et de clôtures, à l’écran dans la salle de presse où il est placé un poste téléviseur câblée sur canal SAT. Une autre salle attenante à la salle de presse servira de cafète pour les journalistes qui, au rythme des travaux, passeront, probablement toute la journée au centre international de conférences de Kintélé.
Il sied de préciser que le 7ème sommet ordinaire de la CIRGL qui se tiendra en matinée, le 19 octobre a pour thème : « Accélérer la Mise en Œuvre du Pacte en Vue de Faciliter la Stabilité et le Développement dans la Région des Grands Lacs ». Il sera notamment ponctué par l’accession du Congo à la tête de cette organisation.
Le second sommet concerne la 8ème réunion de haut niveau du Mécanisme régional de suivi de l’Accord-cadre pour la paix, la sécurité et la coopération pour la RDC et la région. Au cours de ces assises, les chefs d’État et de gouvernement examineront l’évolution de la situation politique et de la sécurité dans la région depuis leur dernière réunion de Luanda, en Angola, le 26 octobre 2016.
Leurs discussions porteront principalement sur la mise en œuvre des engagements pris. Il s’agira de plancher sur les mesures visant à résoudre les problèmes en suspens, en rapport avec la neutralisation des forces négatives dans l’Est de la République Démocratique du Congo, notamment les ADF, les FDLR, le rapatriement des combattants étrangers désarmés dans cette partie de la RDC et dans les pays voisins. D’autres questions, telles le dialogue en cours et le processus politiques en RDC, au Burundi, au Soudan du Sud et en République Centrafricaine En novembre dernier.
Le Mécanisme régional de suivi est le principal organe de contrôle de l’application de l’Accord-cadre. Il se réunit une fois par an au niveau des Chefs d’État et de Gouvernement pour examiner les progrès accomplis dans la mise-en-œuvre des engagements nationaux et régionaux pris au titre de l’Accord-cadre, signé le 24 février 2013 à Addis-Abeba, en Ethiopie.
Outre les garant de l’Accord-cadre, dont l’ONU, l’UA et autres le mécanisme compte 13 pays, l’Afrique du Sud en faisant partie. Les mêmes pays composent la CIRGL, à savoir : l’Angola, le Burundi, la Centrafricaine, le Congo, la R.D Congo, le Kenya, le Rwanda, le Soudan, le Soudan du Sud, la Tanzanie, l’Ouganda et la Zambie.