Présenter la réglementation commerciale nationale applicable à l’importation et exportation de certaines entités de l’Etat. Notamment, l’administration des douanes, les ministères en charge du Commerce, de l’Agriculture, de l’Industrie et celui des ressources animales et halieutiques. Ce, pour faire un rapprochement entre celle-ci et l’Accord sur la facilitation des échanges (Afe).
Tel est le but du séminaire de formation qui a réuni à la fois, les membres du Comité national de facilitation des échanges (Cnfe) de la Côte d’Ivoire, les représentants du secteur privé, les acteurs de la société civile et hommes de médias.
Organisé par le projet Leadership in public financial management II (Lpfm II), financé par l’Agence américaine pour le développement international (Usaid), ce renforcement des capacités s’est déroulé le 27 avril, à Abidjan-Plateau.
A l’ouverture des travaux, le directeur général du commerce extérieur, Kaladji Fadiga, par ailleurs président du Cnfe de Côte d’Ivoire a rappelé certains avantages de la mise en œuvre de l’Afe. A savoir qu’il va réduire les délais et les coûts du commerce transfrontalier, améliorer la compétitivité des entreprises, accroître le volume et la valeur des échanges, etc.
Pour le directeur pays de Lpfm II, Félix Kouakou il s’agit de « présenter les enjeux et défi de la mise en œuvre de l’Afe, à l’ensemble des acteurs et parties prenantes impliqués dans le développement et la croissance économique du pays. Puis d’identifier les reformes réglementaires et juridiques à faire, en vue de l’adapter aux nouveaux accords…. ».
Ainsi, les représentants de chaque entité étatique suscitée se sont succédé tour à tour pour exposer la réglementation et les procédures applicables à l’import-export de leur administration respective. Les discussions et échanges qui ont suivis ont permis aux participants de comprendre et de s’approprier certaines règles commerciales.
En outre, de l’avis des participants, le séminaire a recommandé l’amélioration de la coopération entre les structures étatiques, pour favoriser le commerce transfrontalier. De même qu’une amélioration de la communication entre ces structures étatiques et les opérateurs économiques. Animées de la volonté d’une compétitivité économique de la Côte d’Ivoire, toutes les parties prenantes ont traduit leur adhésion à la mise en œuvre intégrale de l’Afe.
Tel est le but du séminaire de formation qui a réuni à la fois, les membres du Comité national de facilitation des échanges (Cnfe) de la Côte d’Ivoire, les représentants du secteur privé, les acteurs de la société civile et hommes de médias.
Organisé par le projet Leadership in public financial management II (Lpfm II), financé par l’Agence américaine pour le développement international (Usaid), ce renforcement des capacités s’est déroulé le 27 avril, à Abidjan-Plateau.
A l’ouverture des travaux, le directeur général du commerce extérieur, Kaladji Fadiga, par ailleurs président du Cnfe de Côte d’Ivoire a rappelé certains avantages de la mise en œuvre de l’Afe. A savoir qu’il va réduire les délais et les coûts du commerce transfrontalier, améliorer la compétitivité des entreprises, accroître le volume et la valeur des échanges, etc.
Pour le directeur pays de Lpfm II, Félix Kouakou il s’agit de « présenter les enjeux et défi de la mise en œuvre de l’Afe, à l’ensemble des acteurs et parties prenantes impliqués dans le développement et la croissance économique du pays. Puis d’identifier les reformes réglementaires et juridiques à faire, en vue de l’adapter aux nouveaux accords…. ».
Ainsi, les représentants de chaque entité étatique suscitée se sont succédé tour à tour pour exposer la réglementation et les procédures applicables à l’import-export de leur administration respective. Les discussions et échanges qui ont suivis ont permis aux participants de comprendre et de s’approprier certaines règles commerciales.
En outre, de l’avis des participants, le séminaire a recommandé l’amélioration de la coopération entre les structures étatiques, pour favoriser le commerce transfrontalier. De même qu’une amélioration de la communication entre ces structures étatiques et les opérateurs économiques. Animées de la volonté d’une compétitivité économique de la Côte d’Ivoire, toutes les parties prenantes ont traduit leur adhésion à la mise en œuvre intégrale de l’Afe.