Au début de la crise Libyenne, la voix de l’Afrique avait été ignorée, mais le continent s’est résolu à se mettre à l’ouvrage. Cet engagement commence à porter ses fruits et tous les signaux sont au vert pour que Brazzaville balise la voix dans la perspective d’une solution durable pour sortir la Libye de l’abîme dans laquelle elle est plongée depuis plusieurs années.
« Comme chacun le sait, un Comité des Chefs d’Etat avait déjà été mis en place en 2011, pour apporter une réponse africaine à cette crise dont nous connaissions les causes et savions, mieux que quiconque, les conséquences éventuelles. » a déclaré Denis Sassou N’Guesso à l’ouverture des travaux avant d’ajouter « Comme chacun s’en souvient, la voix de l’Afrique a été ignorée. »
C’est tout l’intérêt du sommet de Brazzaville qui devrait permettre de fixer la feuille de route du comité de Haut Niveau que dirige Denis Sassou N’Guesso, qui n’a pas manqué de dégager les axes prioritaires de réflexion. Il s’agit notamment d’initier des missions d’information et de mobilisation pour obtenir l’adhésion de toutes les parties prenantes libyennes à l’action de la Troïka ; d’engager des consultations avec les partenaires bilatéraux et multilatéraux puis de préparer et organiser la réunion de réconciliation nationale entre les Libyens.
Denis Sassou N’Guesso a insisté sur le dialogue, seul moyen de sortie de crise. « La solution à la crise libyenne dépend, avant tout, des Libyens eux-mêmes, nous ne le dirons jamais assez. Elle ne peut être que politique, nous le savons. En cela, le dialogue entre toutes les parties libyennes est primordial. En dépit des divergences, c’est le seul moyen d’avancer dans la transition. », a –t-il martelé.
A noter que, l’Union Africaine a fait entendre également sa voix, à l’ouverture des travaux , par le truchement du commissaire en charge de la paix et de la sécurité, de la commission de l’Union Africaine, Ismail Chergui, représentant la présidente de cette commission, qui a exclut toute solution militaire à la crise libyenne, après avoir salué le panafricanisme de Denis Sassou N’Guesso.
Face aux conséquences désastreuses de la crise libyenne dans la zone sahélo-sahélienne, durement éprouvée par l’insécurité, le président en exercice de l’Union Africaine, Idriss Deby Itno, dont son pays, le Tchad, partage une frontière avec la Libye, a plaidé pour solution urgente, au regard de l’ampleur de cette crise.
Après l’ouverture des travaux, s’en est suivi le huis clos des chefs d’Etat et de gouvernement .
En dehors des intervenants d’autres personnalités ont rehaussé de leur présence au sommet de Brazzaville. On peut citer, entre autres, le Premier Ministre de la Libye, le Président KIKWETE représentant de l’Union Africaine pour la Libye ; le représentant du Secrétaire général des Nations unies pour la Libye, et le représentant de la ligue Arabe.
« Comme chacun le sait, un Comité des Chefs d’Etat avait déjà été mis en place en 2011, pour apporter une réponse africaine à cette crise dont nous connaissions les causes et savions, mieux que quiconque, les conséquences éventuelles. » a déclaré Denis Sassou N’Guesso à l’ouverture des travaux avant d’ajouter « Comme chacun s’en souvient, la voix de l’Afrique a été ignorée. »
C’est tout l’intérêt du sommet de Brazzaville qui devrait permettre de fixer la feuille de route du comité de Haut Niveau que dirige Denis Sassou N’Guesso, qui n’a pas manqué de dégager les axes prioritaires de réflexion. Il s’agit notamment d’initier des missions d’information et de mobilisation pour obtenir l’adhésion de toutes les parties prenantes libyennes à l’action de la Troïka ; d’engager des consultations avec les partenaires bilatéraux et multilatéraux puis de préparer et organiser la réunion de réconciliation nationale entre les Libyens.
Denis Sassou N’Guesso a insisté sur le dialogue, seul moyen de sortie de crise. « La solution à la crise libyenne dépend, avant tout, des Libyens eux-mêmes, nous ne le dirons jamais assez. Elle ne peut être que politique, nous le savons. En cela, le dialogue entre toutes les parties libyennes est primordial. En dépit des divergences, c’est le seul moyen d’avancer dans la transition. », a –t-il martelé.
A noter que, l’Union Africaine a fait entendre également sa voix, à l’ouverture des travaux , par le truchement du commissaire en charge de la paix et de la sécurité, de la commission de l’Union Africaine, Ismail Chergui, représentant la présidente de cette commission, qui a exclut toute solution militaire à la crise libyenne, après avoir salué le panafricanisme de Denis Sassou N’Guesso.
Face aux conséquences désastreuses de la crise libyenne dans la zone sahélo-sahélienne, durement éprouvée par l’insécurité, le président en exercice de l’Union Africaine, Idriss Deby Itno, dont son pays, le Tchad, partage une frontière avec la Libye, a plaidé pour solution urgente, au regard de l’ampleur de cette crise.
Après l’ouverture des travaux, s’en est suivi le huis clos des chefs d’Etat et de gouvernement .
En dehors des intervenants d’autres personnalités ont rehaussé de leur présence au sommet de Brazzaville. On peut citer, entre autres, le Premier Ministre de la Libye, le Président KIKWETE représentant de l’Union Africaine pour la Libye ; le représentant du Secrétaire général des Nations unies pour la Libye, et le représentant de la ligue Arabe.