Des cadavres alignés en Centrafrique. Crédit photo : Sources
BENIN (Alwihda Info) - Ali Ousman, un ancien rebelle de l'UFDR réfugié au Bénin a décidé de dire la vérité au peuple centrafricain sur ce qui se passe depuis 2012 en Centrafrique.
« Le seul plan qui était monté, c’était de chasser François Bozizé du pouvoir. Pour arriver à cela, nous les rebelles avons commencé après l’élection de 2005 de retourner et corrompre financièrement l’entourage du général Bozizé. On avait réussi a corrompre sylvain Ndoutingai et Firmin Feindiro contre de l’argent et la promesse de grands postes de ministre. Mais on avait un problème, car le directeur des renseignements de Bozizé avait refusé notre offre avec tout l’argent qu’on voulait lui donner. Pour le neutraliser loin de bozizé, on a demandé au procureur feindiro de trouver un moyen pour l’arreter et nous ouvrir la voie. Feidndiro a réussi à convaincre Bozize et Francis que le DG de renseignements veut faire un coup d’etat. Quand le patron des renseignements était en prison, on avait demandé au commandant Christophe Namgana de l’éliminer, mais il n’a pas exécuté l’ordre ».
« Feindiro a saisi les ordinateurs des renseignements au palais de Bangui et a donné à son chauffeur qui était en contact avec notre chef Djotodia. Pendant longtemps, les rumeurs couraient à bangui que Ndoutingai et Feindiro voulaient faire un coup d’etat, mais en réalité les deux étaient en contact avec nous dans le maquis et bossaient avec nous dans Bangui. Quand notre chef Djotodia après son arrivée au pouvoir a appelé vite Feindiro et Ndoutingai pour leur donner des postes pour service rendu, beaucoup de gens n'étaient pas content, il a fait marche arrière ».
« Nous on voulait juste prendre le pouvoir, et non faire tous ces crimes dans notre pays. Moi je demande pardon au peuple centrafricain. Les deux ordinateurs saisi par Feindiro dans le service des renseignements après l’arrestation de son DG Reboas sont en ce moment avec moi, et beaucoup de document adressés à bozizé ont été été négligés sinon Bozize est encore au pouvoir. Le coup d’etat de mars 2013 a commencé avec l’UFDR après l’élection de 2005. Bozizé et son entourage ont joué avec la sécurité. »
« Le seul plan qui était monté, c’était de chasser François Bozizé du pouvoir. Pour arriver à cela, nous les rebelles avons commencé après l’élection de 2005 de retourner et corrompre financièrement l’entourage du général Bozizé. On avait réussi a corrompre sylvain Ndoutingai et Firmin Feindiro contre de l’argent et la promesse de grands postes de ministre. Mais on avait un problème, car le directeur des renseignements de Bozizé avait refusé notre offre avec tout l’argent qu’on voulait lui donner. Pour le neutraliser loin de bozizé, on a demandé au procureur feindiro de trouver un moyen pour l’arreter et nous ouvrir la voie. Feidndiro a réussi à convaincre Bozize et Francis que le DG de renseignements veut faire un coup d’etat. Quand le patron des renseignements était en prison, on avait demandé au commandant Christophe Namgana de l’éliminer, mais il n’a pas exécuté l’ordre ».
« Feindiro a saisi les ordinateurs des renseignements au palais de Bangui »
« Feindiro a saisi les ordinateurs des renseignements au palais de Bangui et a donné à son chauffeur qui était en contact avec notre chef Djotodia. Pendant longtemps, les rumeurs couraient à bangui que Ndoutingai et Feindiro voulaient faire un coup d’etat, mais en réalité les deux étaient en contact avec nous dans le maquis et bossaient avec nous dans Bangui. Quand notre chef Djotodia après son arrivée au pouvoir a appelé vite Feindiro et Ndoutingai pour leur donner des postes pour service rendu, beaucoup de gens n'étaient pas content, il a fait marche arrière ».
« Nous on voulait juste prendre le pouvoir, et non faire tous ces crimes dans notre pays »
« Nous on voulait juste prendre le pouvoir, et non faire tous ces crimes dans notre pays. Moi je demande pardon au peuple centrafricain. Les deux ordinateurs saisi par Feindiro dans le service des renseignements après l’arrestation de son DG Reboas sont en ce moment avec moi, et beaucoup de document adressés à bozizé ont été été négligés sinon Bozize est encore au pouvoir. Le coup d’etat de mars 2013 a commencé avec l’UFDR après l’élection de 2005. Bozizé et son entourage ont joué avec la sécurité. »