Les opportunités d’affaires sont nombreuses au Congo. C’est du moins la compréhension qu’inspire l’intervention du président congolais au sommet Russie-Afrique. Le gouvernement congolais a fait de l’amélioration du climat des affaires, l’une de ses priorités majeures, a assuré le chef de l’Etat qui a évoqué « des avantages fiscalo-douaniers attractifs » comme l’un des atouts. La mise en place de quatre zones économiques spéciales pour la diversification de l’économie nationale, a constitué un autre avantage énuméré par Denis Sassou N’Guesso.
Evidemment, dans un pays où la diversification de l’économie rime avec diversification des partenaires, il n’est pas envisageable de créer des monopoles dans le choix des partenaires au développement. D’autant plus que le sous-sol congolais est lui aussi nanti de richesses diverses. Il regorge des polymétaux, du phosphate, de la potasse, du pétrole et du gaz. C’est dire combien le Congo est une terre d’opportunités d’investissements dans les secteurs émergents, notamment.
Des reformes ont été engagées avec, notamment, la création du comité interministériel pour l’amélioration du climat des affaires par décret n° 2017-42 du 28 mars 2017. Ce comité a pour mission de prendre des mesures nécessaires pour améliorer le Doing Business et, en règle générale, améliorer le climat des affaires.
Devant les pairs africains et les dirigeants russes, Denis Sassou N’Guesso a rappelé la nécessité de garantir la paix, non seulement dans son pays mais aussi sur tout le continent. Au Congo, disait-il aux hommes d’affaires belges venus en mission économique au Congo, « nous avons tout mis en œuvre pour créer les conditions de paix, de stabilité et de sécurité (…) parce que, nous croyons que s’il n’y a pas la paix, la stabilité et la sécurité pour tous, il n’est pas possible d’investir et d’aller au développement ».
C’est donc une constance pour le chef de l’Etat congolais quand il évoque de nouveau à Sotchi, les questions de paix et stabilité, qui sont facteurs de l’amélioration du climat des affaires.
Evidemment, dans un pays où la diversification de l’économie rime avec diversification des partenaires, il n’est pas envisageable de créer des monopoles dans le choix des partenaires au développement. D’autant plus que le sous-sol congolais est lui aussi nanti de richesses diverses. Il regorge des polymétaux, du phosphate, de la potasse, du pétrole et du gaz. C’est dire combien le Congo est une terre d’opportunités d’investissements dans les secteurs émergents, notamment.
Des reformes ont été engagées avec, notamment, la création du comité interministériel pour l’amélioration du climat des affaires par décret n° 2017-42 du 28 mars 2017. Ce comité a pour mission de prendre des mesures nécessaires pour améliorer le Doing Business et, en règle générale, améliorer le climat des affaires.
Devant les pairs africains et les dirigeants russes, Denis Sassou N’Guesso a rappelé la nécessité de garantir la paix, non seulement dans son pays mais aussi sur tout le continent. Au Congo, disait-il aux hommes d’affaires belges venus en mission économique au Congo, « nous avons tout mis en œuvre pour créer les conditions de paix, de stabilité et de sécurité (…) parce que, nous croyons que s’il n’y a pas la paix, la stabilité et la sécurité pour tous, il n’est pas possible d’investir et d’aller au développement ».
C’est donc une constance pour le chef de l’Etat congolais quand il évoque de nouveau à Sotchi, les questions de paix et stabilité, qui sont facteurs de l’amélioration du climat des affaires.