Satisfecit du Fond Monétaire International au Royaume du Maroc
Le gouvernement du Maroc a pu, suite aux directives du Roi, amortir les chocs de la crise économique internationale, notamment européenne, et de la hausse des prix des hydrocarbures.
Cette bonne gestion de situation économique internationale a permis au Maroc d’enregistré un taux de croissance satisfaisant et ce, grâce à ses deux atouts que sont : un excellent climat d’investissement étranger et une perspective à moyen terme pour la gestion de l’économie budgétaire.
Tous ces élément ont permis de favoriser la mise en place d’un climat encourageant pour la prise de décisions économiques qui ont donné, et donnent encore, des résultats positifs.
En effet, les prévisions économiques pour le Royaume du Maroc restent positives. Les experts s’attendent, en dépit d’une mauvaise année agricole, à une meilleure croissance pour 2013 et à un environnement économique favorable malgré un environnement extérieur incertain.
De plus, les politiques économiques saines et les vastes réformes structurelles mises en œuvre par le Maroc ont « contribué à de solides résultats macroéconomiques, notamment sous la forme d'une croissance robuste, d'une inflation faible et d'un système bancaire résilient ».
Aussi, cette évolution favorable de même que la solidité des fondamentaux économiques et des dispositifs institutionnels ont aidé le pays à amortir l'impact de la crise mondiale et à répondre à des besoins sociaux pressants.
Par ailleurs, la récente hausse des prix internes du carburant décidée par le gouvernement constitue un signe tangible de la détermination des autorités marocaines à réformer le système de compensation et à assurer la durabilité fiscale de manière générale.
En outre, les réformes politiques et économiques engagées récemment par le Maroc devrait lui permettre de relever les défis socio-économiques auxquels il fait face en mettant en œuvre des plans de réformes ambitieux qui se dégagent de la nouvelle Constitution comme fortement souligné par le Roi du Maroc lors du Discours du Trône le 30 juillet 2012 en appelant le gouvernement à s’atteler rapidement à la mise en route des réformes stratégiques sur les plans politique et économique.
Il est donc permis d’affirmer que le programme économique du gouvernement marocain, vise à améliorer les indicateurs sociaux, réduire le chômage, booster la compétitivité, et augmenter le potentiel d'une croissance plus élevée et plus inclusive, ajoutant que les autorités marocaines continueront de surveiller l'état de santé du système financier afin de préserver sa solidité et maintenir un niveau adéquat de réserves internationales.
Mais, bien que Le Maroc ait enregistré ces dernières années des taux de croissance élevés, en moyenne de 4 à 5% par an, il se trouve sous la menace des incertitudes qui règnent sur la zone euro et de possibles hausses du prix du pétrole.
C’est pour cette raison que le Fond Monétaire International, et au regard de ce qui précède, a décidé d’accorder, le 03 août 2012, au Maroc une « Ligne de Précaution et de Liquidité (LPL)» de 6,2 milliards de dollars.
Cette ligne, valable deux ans, est de nature à rassurer les investisseurs et les partenaires financiers étrangers ainsi que les agences de notation sur la bonne tenue des politiques économiques du Royaume du Maroc et à permettre de faciliter la mobilisation de financements sur le marché financier international à des conditions favorables.
En fait, cette ligne de crédit LPL équivaut à une sorte de police assurance contre d'éventuels chocs externes et n'est pas donnée à tout le monde en ce sens qu'il faut se qualifier pour l'obtenir en remplissant un certain nombre de critères qui démontrent qu'un pays a des politiques solides.
Cette décision du FMI est donc un signe de confiance envers l’économie financière et les fondamentaux macroéconomiques du Maroc à même de rassurer les investisseurs
C’est pourquoi, dès la décision annoncée par le FMI, le Royaume du Maroc envisage l’émission de bons du Trésor pour un montant d’un milliard de dollars en se tournant vers les fonds souverains des pays du golfe et d’attirer en conséquence des investisseurs institutionnels originaires des pays du Conseil de Coopération du Golfe à hauteur de la moitié de la somme émise.
Je conclurai ce papier en affirmant que la décision du FMI représente également un défi pour le gouvernement marocain en matière de gouvernance. Elle constitue un motif d’incitation au cabinet Benkirane pour sortir de l’attentisme et prendre à bras le corps les véritables problèmes économiques et sociaux en suspens pour apporter les réponses idoines aux attentes légitimes du peuple marocain comme l’a rappelé le Souverain marocain dans son adresse à la Nation lors du Discours du Trône.
En vous demandant de bien vouloir publier ce papier. Une réponse par courriel à cette demande serait appréciée. Cordialement. Farid Mnebhi
Le gouvernement du Maroc a pu, suite aux directives du Roi, amortir les chocs de la crise économique internationale, notamment européenne, et de la hausse des prix des hydrocarbures.
Cette bonne gestion de situation économique internationale a permis au Maroc d’enregistré un taux de croissance satisfaisant et ce, grâce à ses deux atouts que sont : un excellent climat d’investissement étranger et une perspective à moyen terme pour la gestion de l’économie budgétaire.
Tous ces élément ont permis de favoriser la mise en place d’un climat encourageant pour la prise de décisions économiques qui ont donné, et donnent encore, des résultats positifs.
En effet, les prévisions économiques pour le Royaume du Maroc restent positives. Les experts s’attendent, en dépit d’une mauvaise année agricole, à une meilleure croissance pour 2013 et à un environnement économique favorable malgré un environnement extérieur incertain.
De plus, les politiques économiques saines et les vastes réformes structurelles mises en œuvre par le Maroc ont « contribué à de solides résultats macroéconomiques, notamment sous la forme d'une croissance robuste, d'une inflation faible et d'un système bancaire résilient ».
Aussi, cette évolution favorable de même que la solidité des fondamentaux économiques et des dispositifs institutionnels ont aidé le pays à amortir l'impact de la crise mondiale et à répondre à des besoins sociaux pressants.
Par ailleurs, la récente hausse des prix internes du carburant décidée par le gouvernement constitue un signe tangible de la détermination des autorités marocaines à réformer le système de compensation et à assurer la durabilité fiscale de manière générale.
En outre, les réformes politiques et économiques engagées récemment par le Maroc devrait lui permettre de relever les défis socio-économiques auxquels il fait face en mettant en œuvre des plans de réformes ambitieux qui se dégagent de la nouvelle Constitution comme fortement souligné par le Roi du Maroc lors du Discours du Trône le 30 juillet 2012 en appelant le gouvernement à s’atteler rapidement à la mise en route des réformes stratégiques sur les plans politique et économique.
Il est donc permis d’affirmer que le programme économique du gouvernement marocain, vise à améliorer les indicateurs sociaux, réduire le chômage, booster la compétitivité, et augmenter le potentiel d'une croissance plus élevée et plus inclusive, ajoutant que les autorités marocaines continueront de surveiller l'état de santé du système financier afin de préserver sa solidité et maintenir un niveau adéquat de réserves internationales.
Mais, bien que Le Maroc ait enregistré ces dernières années des taux de croissance élevés, en moyenne de 4 à 5% par an, il se trouve sous la menace des incertitudes qui règnent sur la zone euro et de possibles hausses du prix du pétrole.
C’est pour cette raison que le Fond Monétaire International, et au regard de ce qui précède, a décidé d’accorder, le 03 août 2012, au Maroc une « Ligne de Précaution et de Liquidité (LPL)» de 6,2 milliards de dollars.
Cette ligne, valable deux ans, est de nature à rassurer les investisseurs et les partenaires financiers étrangers ainsi que les agences de notation sur la bonne tenue des politiques économiques du Royaume du Maroc et à permettre de faciliter la mobilisation de financements sur le marché financier international à des conditions favorables.
En fait, cette ligne de crédit LPL équivaut à une sorte de police assurance contre d'éventuels chocs externes et n'est pas donnée à tout le monde en ce sens qu'il faut se qualifier pour l'obtenir en remplissant un certain nombre de critères qui démontrent qu'un pays a des politiques solides.
Cette décision du FMI est donc un signe de confiance envers l’économie financière et les fondamentaux macroéconomiques du Maroc à même de rassurer les investisseurs
C’est pourquoi, dès la décision annoncée par le FMI, le Royaume du Maroc envisage l’émission de bons du Trésor pour un montant d’un milliard de dollars en se tournant vers les fonds souverains des pays du golfe et d’attirer en conséquence des investisseurs institutionnels originaires des pays du Conseil de Coopération du Golfe à hauteur de la moitié de la somme émise.
Je conclurai ce papier en affirmant que la décision du FMI représente également un défi pour le gouvernement marocain en matière de gouvernance. Elle constitue un motif d’incitation au cabinet Benkirane pour sortir de l’attentisme et prendre à bras le corps les véritables problèmes économiques et sociaux en suspens pour apporter les réponses idoines aux attentes légitimes du peuple marocain comme l’a rappelé le Souverain marocain dans son adresse à la Nation lors du Discours du Trône.
En vous demandant de bien vouloir publier ce papier. Une réponse par courriel à cette demande serait appréciée. Cordialement. Farid Mnebhi