Le président de la République, Denis Sassou N’Guesso est en séjour dans le Niari, pour lancer les travaux de construction de la route Dolisie-Kibangou. L’intérêt de cette route est visiblement bien compris par la population du département du Niari, à travers les habitants de Dolisie dont la ferveur le long des artères parcourues par le cortège présidentiel n’a d’égal que le remerciement qu’ils ont renvoyé à lui et à son épouse.
En effet, non seulement la population, dans l’allégresse, s’est amassée sur environ deux kilomètres et demi qui relient l’aéroport Ngo Nzoungou de Dolisie à la résidence officielle du président de la République, mais aussi elle suivait le cortège avec enthousiasme comme pour montrer leur attachement à l’homme, Denis Sassou N’Guesso.
Le programme officiel annonçait l’arrivée du chef de l’Etat, à Dolisie dans le coup de 12 heures. Pourtant, dès 9 heures, les abords de l’aéroport Ngo Nzoungou étaient déjà en effervescence : les militants des partis politiques, des associations et autres groupes de danses occupaient déjà, chacun, son espace. Et, la foule grossissait au fur et à mesure que le temps avançait.
Peu avant 12 heures, l’avion transportant le couple présidentiel s’est immobilisé sur le tarmac. Denis Sassou-N’Guesso et son épouse, Antoinette Sassou-N’Guesso sont accueillis à leur descente de l’avion par les autorités civiles et militaires locales. Puis s’en est suivis les honneurs militaires, selon les usages protocolaires : passage en revue des troupes d’apparat et d’honneur, exécution de l’hymne national. La traditionnelle poignée de main avec les corps constitués départementaux a été soigneusement évitée, le tapis étant d’ailleurs placé à plus d’un mètre des hôtes accueillis, comme a également été écarté du cérémonial, le bouquet de fleurs d’accueil. Le respect des mesures barrières s’est imposé avec rigueur par là.
Pour quitter l’aéroport, le chef de l’Etat et son épouse, ont pris place à bord du véhicule de commandement, une décapotable qui leur a permis de se communier avec la population de Dolisie, densément rassemblée le long du parcours menant de l’aéroport à la résidence présidentielle.
Comme pour marquer leur accord avec cette foule en liesse et mouvante, Denis Sassou N’Guesso et son épouse n’ont pas baissé leurs mains pour les saluer. En station débout, dans leur command-car, toujours souriants, le président de la République et son épouse ont eu, tantôt la main droite, tantôt la main gauche levée vers une population surexcitée, dès qu’elle aperçoit celui qu’ils ont baptisé de tous les noms : bâtisseur, Mwana Dol, …. Jeunes, adultes, femmes et hommes, avec ou sans drapelets des partis politiques, expatriés ou nationaux arborant des tee-shirts et bien d’autres anonymes, plus nombreux, en tout cas, personne n’a voulu manqué ce moment.
Au passage, certains criaient à tue-tête, invitant le chef de l’Etat à se présenter à l’élection présidentielle du 21 mars 2021. L’exercice a ainsi duré plusieurs minutes, sans altérer ni l’envie visible de la population à continuer, ni la joie du couple présidentiel.
En effet, non seulement la population, dans l’allégresse, s’est amassée sur environ deux kilomètres et demi qui relient l’aéroport Ngo Nzoungou de Dolisie à la résidence officielle du président de la République, mais aussi elle suivait le cortège avec enthousiasme comme pour montrer leur attachement à l’homme, Denis Sassou N’Guesso.
Le programme officiel annonçait l’arrivée du chef de l’Etat, à Dolisie dans le coup de 12 heures. Pourtant, dès 9 heures, les abords de l’aéroport Ngo Nzoungou étaient déjà en effervescence : les militants des partis politiques, des associations et autres groupes de danses occupaient déjà, chacun, son espace. Et, la foule grossissait au fur et à mesure que le temps avançait.
Peu avant 12 heures, l’avion transportant le couple présidentiel s’est immobilisé sur le tarmac. Denis Sassou-N’Guesso et son épouse, Antoinette Sassou-N’Guesso sont accueillis à leur descente de l’avion par les autorités civiles et militaires locales. Puis s’en est suivis les honneurs militaires, selon les usages protocolaires : passage en revue des troupes d’apparat et d’honneur, exécution de l’hymne national. La traditionnelle poignée de main avec les corps constitués départementaux a été soigneusement évitée, le tapis étant d’ailleurs placé à plus d’un mètre des hôtes accueillis, comme a également été écarté du cérémonial, le bouquet de fleurs d’accueil. Le respect des mesures barrières s’est imposé avec rigueur par là.
Pour quitter l’aéroport, le chef de l’Etat et son épouse, ont pris place à bord du véhicule de commandement, une décapotable qui leur a permis de se communier avec la population de Dolisie, densément rassemblée le long du parcours menant de l’aéroport à la résidence présidentielle.
Comme pour marquer leur accord avec cette foule en liesse et mouvante, Denis Sassou N’Guesso et son épouse n’ont pas baissé leurs mains pour les saluer. En station débout, dans leur command-car, toujours souriants, le président de la République et son épouse ont eu, tantôt la main droite, tantôt la main gauche levée vers une population surexcitée, dès qu’elle aperçoit celui qu’ils ont baptisé de tous les noms : bâtisseur, Mwana Dol, …. Jeunes, adultes, femmes et hommes, avec ou sans drapelets des partis politiques, expatriés ou nationaux arborant des tee-shirts et bien d’autres anonymes, plus nombreux, en tout cas, personne n’a voulu manqué ce moment.
Au passage, certains criaient à tue-tête, invitant le chef de l’Etat à se présenter à l’élection présidentielle du 21 mars 2021. L’exercice a ainsi duré plusieurs minutes, sans altérer ni l’envie visible de la population à continuer, ni la joie du couple présidentiel.