Les sessions criminelles se tiennent depuis le 29 mars 2018 dans différentes cours d’appel des tribunaux congolais, à travers le pays. Brazzaville retient l’attention de tous les Congolais, au regard de la qualité des personnalités qui y sont jugées. Un vrai tournant pour la justice congolaise, disent les observateurs.
Le principe de droit qui dit ‘’nul n’est au-dessus de la loi’’ est observé, à la lecture des dossiers traités par la cour criminelle de Brazzaville, surtout au regard de la qualité des personnalités appelées à la barre.
Avec la tenue des procès, notamment Mokoko et Dabira, on peut affirmer, sans risque de se tromper que la cour d’appel de Brazzaville, présidée par le juge Christian OBA donne la preuve de ce que la justice fonctionne normalement au Congo. Elle pourra faire mieux si les conditions matérielles sont mises à sa disposition. Souvenons-nous que, faute de moyen, notamment, les dernières sessions des cours criminelles au Congo, remontent à plus de quatre ans
La diffusion en intégralité et au quotidien du déroulement de ces procès sur la chaîne de télévision nationale permet au peuple de se forger son appréciation sur la nature des décisions qui en sont issues et d’élaguer certains faux préjugés sur l’institution Judiciaire congolaise.
Les droits de l’homme (la liberté, la sécurité), la démocratie et, de façon générale, l’État de droit ne se construisent pas dans la conspiration, la médisance la propagation de rumeurs et sous la pression politique.
C’est pourquoi, il est nécessaire que le peuple, mais aussi tous les acteurs impliqués, notamment, dans ces sessions criminelles en cours, apportent leur soutien à la Justice. Autant les personnalités jugées lors des présentes sessions criminelles constituent une réelle volonté de la justice congolaise de se donner une autre image d’elle-même, autant ce soutien favorisera aussi la réhabilitation de la justice congolaise aux yeux des justiciables, conformément à la maxime qui soutient que « nul n’est au-dessus de la loi ».
Pour sortir le pays des maux qui le minent aujourd’hui : la corruption, la concussion, le détournement des deniers publics, l’impunité et bien d’autres, il faut construire une justice forte, capable de résister aux assauts des politiques. C’est dire que si elle veut être davantage libre et éloigner d’elle les pressions de toute origine, la justice se doit de maintenir son élan pris lors des sessions criminelles en cours dans le pays
Le principe de droit qui dit ‘’nul n’est au-dessus de la loi’’ est observé, à la lecture des dossiers traités par la cour criminelle de Brazzaville, surtout au regard de la qualité des personnalités appelées à la barre.
Avec la tenue des procès, notamment Mokoko et Dabira, on peut affirmer, sans risque de se tromper que la cour d’appel de Brazzaville, présidée par le juge Christian OBA donne la preuve de ce que la justice fonctionne normalement au Congo. Elle pourra faire mieux si les conditions matérielles sont mises à sa disposition. Souvenons-nous que, faute de moyen, notamment, les dernières sessions des cours criminelles au Congo, remontent à plus de quatre ans
La diffusion en intégralité et au quotidien du déroulement de ces procès sur la chaîne de télévision nationale permet au peuple de se forger son appréciation sur la nature des décisions qui en sont issues et d’élaguer certains faux préjugés sur l’institution Judiciaire congolaise.
Les droits de l’homme (la liberté, la sécurité), la démocratie et, de façon générale, l’État de droit ne se construisent pas dans la conspiration, la médisance la propagation de rumeurs et sous la pression politique.
C’est pourquoi, il est nécessaire que le peuple, mais aussi tous les acteurs impliqués, notamment, dans ces sessions criminelles en cours, apportent leur soutien à la Justice. Autant les personnalités jugées lors des présentes sessions criminelles constituent une réelle volonté de la justice congolaise de se donner une autre image d’elle-même, autant ce soutien favorisera aussi la réhabilitation de la justice congolaise aux yeux des justiciables, conformément à la maxime qui soutient que « nul n’est au-dessus de la loi ».
Pour sortir le pays des maux qui le minent aujourd’hui : la corruption, la concussion, le détournement des deniers publics, l’impunité et bien d’autres, il faut construire une justice forte, capable de résister aux assauts des politiques. C’est dire que si elle veut être davantage libre et éloigner d’elle les pressions de toute origine, la justice se doit de maintenir son élan pris lors des sessions criminelles en cours dans le pays