La France s’est montrée solidaire vis-à-vis des Etats africains, en mettant en jeu 100 milliards de dollars pour la relance des économies africaines, éprouvées par la crise de la pandémie à coronavirus-Covid 19. Le président français a ,en outre , proposé le recours aux droits de tirages spéciaux dans le même but.
Le président Denis Sassou-N’Guesso qui a pris la parole à la tribune de ce sommet a rappelé le sens de cette solidarité en ces temps de Covid-19 : « Le Coronavirus a montré que le monde n’était, en réalité, qu’un village planétaire. Face à cette pandémie, les peuples et les Etats se doivent de rester solidaires. », a-t-il déclaré. Pour lui, « l’après COVID-19 ne doit pas être identique à l’avant COVID-19. Seule une solidarité plus active permettra une distribution équitable des doses vaccinales ». D’où, « la nécessité de ne pas laisser l’Afrique au bord de la route devient plus forte devant l’ampleur des nouveaux défis communs », a fait observer Denis Sassou-N’Guesso avant d’inviter la communauté internationale à œuvrer pour le multilatéralisme, qui, a-t-il poursuivi, est le fondement de toute communauté d’action.
C’est pourquoi, les dirigeants africains et européens, réunis à Paris, ont acté la nécessité de soutenir financièrement la relance des économies africaines, frappées par la pandémie due au coronavirus.
Pour Denis Sassou-N’Guesso, le développement de l’Afrique devrait tenir compte du lien à établir entre sécurité-investissement-développement. Il était temps, a dit le président congolais, de mettre en place un mécanisme de stabilisation sur le continent africain pour faire face aux divers chocs, a-t-il suggéré. « Comme les pays européens au lendemain de la crise financière 2009-2010, nous, nations africaines, devrions tirer les leçons de la crise actuelle et nous doter de notre propre mécanisme pour prévenir et faire face rapidement à la survenue de tout choc extérieur futur », a suggéré le chef de l’Etat congolais. « Ce mécanisme africain de stabilisation financière serait basé sur le principe de la mutualisation des ressources (sous forme de dette commune), dont l’accès serait subordonné au respect des critères de convergence macroéconomique », a expliqué Denis Sassou-N’Guesso.
En somme, la capitale française a rendu manifeste l’idée d’accompagner le continent africain pour sortir de la double crise : financière et sanitaire. Dans l'immédiat, cet engagement doit se traduire par une accélération de la campagne vaccinale contre la COVID-19 et davantage de marges de manœuvre budgétaire pour les pays du continent africain. Ce sommet, organisé à l’initiative du chef de l’Etat français, Emmanuel Macron, s’est tenu sous le signe de l'urgence et de l'ambition pour un nouveau paradigme dans la coopération entre la France et l'Afrique.
Le président Denis Sassou-N’Guesso qui a pris la parole à la tribune de ce sommet a rappelé le sens de cette solidarité en ces temps de Covid-19 : « Le Coronavirus a montré que le monde n’était, en réalité, qu’un village planétaire. Face à cette pandémie, les peuples et les Etats se doivent de rester solidaires. », a-t-il déclaré. Pour lui, « l’après COVID-19 ne doit pas être identique à l’avant COVID-19. Seule une solidarité plus active permettra une distribution équitable des doses vaccinales ». D’où, « la nécessité de ne pas laisser l’Afrique au bord de la route devient plus forte devant l’ampleur des nouveaux défis communs », a fait observer Denis Sassou-N’Guesso avant d’inviter la communauté internationale à œuvrer pour le multilatéralisme, qui, a-t-il poursuivi, est le fondement de toute communauté d’action.
C’est pourquoi, les dirigeants africains et européens, réunis à Paris, ont acté la nécessité de soutenir financièrement la relance des économies africaines, frappées par la pandémie due au coronavirus.
Pour Denis Sassou-N’Guesso, le développement de l’Afrique devrait tenir compte du lien à établir entre sécurité-investissement-développement. Il était temps, a dit le président congolais, de mettre en place un mécanisme de stabilisation sur le continent africain pour faire face aux divers chocs, a-t-il suggéré. « Comme les pays européens au lendemain de la crise financière 2009-2010, nous, nations africaines, devrions tirer les leçons de la crise actuelle et nous doter de notre propre mécanisme pour prévenir et faire face rapidement à la survenue de tout choc extérieur futur », a suggéré le chef de l’Etat congolais. « Ce mécanisme africain de stabilisation financière serait basé sur le principe de la mutualisation des ressources (sous forme de dette commune), dont l’accès serait subordonné au respect des critères de convergence macroéconomique », a expliqué Denis Sassou-N’Guesso.
En somme, la capitale française a rendu manifeste l’idée d’accompagner le continent africain pour sortir de la double crise : financière et sanitaire. Dans l'immédiat, cet engagement doit se traduire par une accélération de la campagne vaccinale contre la COVID-19 et davantage de marges de manœuvre budgétaire pour les pays du continent africain. Ce sommet, organisé à l’initiative du chef de l’Etat français, Emmanuel Macron, s’est tenu sous le signe de l'urgence et de l'ambition pour un nouveau paradigme dans la coopération entre la France et l'Afrique.