La République Togolaise veut gagner le pari de la tenue de la conférence régionale de la sécurité maritime sur son sol. Vu l’intérêt et l’engagement du président Denis Sassou N’Guesso pour la cause africaine, dont le présent et le futur lui tiennent tant à cœur, Faure Gnassingbé a fait le déplacement d’Oyo, pour échanger avec lui, sur la question. « Effectivement, le Togo va abriter un sommet sur la sécurité maritime. Et vous savez l’importance de ce thème pour le président Denis Sassou N’Guesso…. » A dit le chef de l’Etat togolais à la presse. Aussi, a-t-il ajouté que le Congo a la chance d’abriter le centre régional de la coordination sur les questions maritimes.
C’est à ce titre, et aux fins de justifier la place de l’Afrique dans l’enjeu de la politique mondiale en termes de géopolitique, y compris l’importance accordée aux mers et océans que regorge le continent, que les deux hommes d’Etat ont eu des longs entretiens en tête à tête. Dans cette perspective, le chef de l’Etat togolais a reconnu l’implication de Denis Sassou N’Guesso dans la mise en musique de la stratégie africaine intégrée pour les mers et océans.
En effet, au cours de cette Conférence, diverses questions seront examinées dont celles liées à l’insécurité maritime, marquée par des actes d’agression, de brigandage, de vol à main armée, aux trafics illicites de tout genre transitant en mer, la pêche illicite, la préservation de l’environnement marin, la mer comme facteur de développement, la coopération régionale et internationale pour la sauvegarde de la sécurité maritime et la question de la migration.
Ces questions étant transversales, pour le président togolais, il était de bon aloi de venir partager avec Denis Sassou N’Guesso, ce qui allait retenir leur attention en marge de la 71ème Assemblée générale des Nations Unies. Puisque le président de la République du Congo, retenu dans son pays par les questions importances de la sous-région, a soutenu son hôte, n’a pu effectuer le déplacement de New-York.
La stratégie AIM 2015, au cœur des débats
En matière de développement, la Stratégie africaine intégrée pour les mers et les océans à l’horizon 2050 (Stratégie AIM 2050) sera au cœur des travaux de Lomé en vue d’une mise en œuvre plus soutenue et accrue de son plan d’opérationnalisation visant à créer une plus grande richesse, par la promotion d’une économie bleue, florissante, durable, sécurisée et respectueuse de l’environnement.
Dans ce sens, il a fallu aux deux présidents de réfléchir ensemble, afin que le rendez-vous de Lomé puisse offrir aux pays africains une autre possibilité de diversifier les économies, et de permettre à l’Afrique d’assumer pleinement la responsabilité qui lui incombe vis-à-vis d’elle-même. Des conclusions dudit sommet qui doivent doter le continent des moyens nécessaires pour enrayer les actes criminels en mer, et de s’investir dans la réalisation de la vision 2063 de l’Union Africaine pour l’Afrique, qui offre des perspectives heureuses à la région en ce qui concerne son progrès économique et social.
« Je suis venu le voir et nous avons eu des entretiens très fructueux. En tout cas, je repars rassurer et convaincu que grâce à son implication, le sommet de Lomé pourra avoir de plus grandes chances de réussite. » Pouvait confier le Togolais aux journalistes. Ainsi la conférence de Lomé pourrait déboucher sur des résultats concrets, probants, applicables, permettant d’atteindre rapidement les objectifs de paix, de stabilité et de développement pour le continent africain.
D’autres questions, mais convergeant vers la recherche des solutions pour la stabilité et la paix, ainsi que la lutte contre le terrorisme, en Afrique ont retenu l’attention de deux chefs d’Etat, a conclu le président Faure Gnassingbé avant de quitter Oyo.
C’est à ce titre, et aux fins de justifier la place de l’Afrique dans l’enjeu de la politique mondiale en termes de géopolitique, y compris l’importance accordée aux mers et océans que regorge le continent, que les deux hommes d’Etat ont eu des longs entretiens en tête à tête. Dans cette perspective, le chef de l’Etat togolais a reconnu l’implication de Denis Sassou N’Guesso dans la mise en musique de la stratégie africaine intégrée pour les mers et océans.
En effet, au cours de cette Conférence, diverses questions seront examinées dont celles liées à l’insécurité maritime, marquée par des actes d’agression, de brigandage, de vol à main armée, aux trafics illicites de tout genre transitant en mer, la pêche illicite, la préservation de l’environnement marin, la mer comme facteur de développement, la coopération régionale et internationale pour la sauvegarde de la sécurité maritime et la question de la migration.
Ces questions étant transversales, pour le président togolais, il était de bon aloi de venir partager avec Denis Sassou N’Guesso, ce qui allait retenir leur attention en marge de la 71ème Assemblée générale des Nations Unies. Puisque le président de la République du Congo, retenu dans son pays par les questions importances de la sous-région, a soutenu son hôte, n’a pu effectuer le déplacement de New-York.
La stratégie AIM 2015, au cœur des débats
En matière de développement, la Stratégie africaine intégrée pour les mers et les océans à l’horizon 2050 (Stratégie AIM 2050) sera au cœur des travaux de Lomé en vue d’une mise en œuvre plus soutenue et accrue de son plan d’opérationnalisation visant à créer une plus grande richesse, par la promotion d’une économie bleue, florissante, durable, sécurisée et respectueuse de l’environnement.
Dans ce sens, il a fallu aux deux présidents de réfléchir ensemble, afin que le rendez-vous de Lomé puisse offrir aux pays africains une autre possibilité de diversifier les économies, et de permettre à l’Afrique d’assumer pleinement la responsabilité qui lui incombe vis-à-vis d’elle-même. Des conclusions dudit sommet qui doivent doter le continent des moyens nécessaires pour enrayer les actes criminels en mer, et de s’investir dans la réalisation de la vision 2063 de l’Union Africaine pour l’Afrique, qui offre des perspectives heureuses à la région en ce qui concerne son progrès économique et social.
« Je suis venu le voir et nous avons eu des entretiens très fructueux. En tout cas, je repars rassurer et convaincu que grâce à son implication, le sommet de Lomé pourra avoir de plus grandes chances de réussite. » Pouvait confier le Togolais aux journalistes. Ainsi la conférence de Lomé pourrait déboucher sur des résultats concrets, probants, applicables, permettant d’atteindre rapidement les objectifs de paix, de stabilité et de développement pour le continent africain.
D’autres questions, mais convergeant vers la recherche des solutions pour la stabilité et la paix, ainsi que la lutte contre le terrorisme, en Afrique ont retenu l’attention de deux chefs d’Etat, a conclu le président Faure Gnassingbé avant de quitter Oyo.