KHARTOUM -- Le président soudanais, Omar el-Béchir, est retourné dimanche soir au Soudan après une courte visite au Caire, où il s'est entretenu avec le président égyptien, Hosni Mubarak.
Mahjoub Fadel, porte-parole du président soudanais, a déclaré à Khartoum devant la presse que les entretiens entre les présidents soudanais et égyptien se sont concentrés sur les relations bilatérales, l'application de l'Accord de paix global au Soudan, ainsi que la situation au Darfour.
Il a indiqué que les deux présidents ont également discuté d'un accord arabo-africain proposé par Qatar, visant à reprendre la négociation de paix entre le gouvernement soudanais et les groupes rebelles au Darfour.
Les entretiens ont également porté sur les possibles conséquences pour le Soudan d'un mandat d'arrêt qui devait être annoncé par la Cour pénale internationale (CPI) contre le président soudanais el-Béchir, accusé de génocide et de crimes de guerre, a précisé le porte-parole.
"Les deux parties partagent les mêmes points de vue sur tous les sujets abordés", a affirmé le porte-parole.
Le président égyptien a également réitéré le soutien total de son pays au Soudan, a fait savoir le porte-parole, ajoutant que M. Mubarak a promis de toujours appuyer la position du Soudan auprès de l'Organisation de la conférence islamique, la Ligue arabe et l'Union africaine.
La visite du président soudanais en Egypte fait suite à celle de l'émir du Qatar, cheikh Hamad ben Khalifa Al-Thani, samedi à Khartoum, où ce dernier s'est entretenu avec le président soudanais.
Mardi dernier, le gouvernement du Qatar a parrainé un accord de bonne volonté entre le gouvernement soudanais et le Mouvement pour la justice et l'égalité (JEM) qui a pour but d'organiser la tenue de négociations de paix visant à résoudre le conflit qui dure depuis six ans au Darfour.
Néanmoins, d'autres groupes rebelles au Darfour se sont opposés aux négociations de Doha qui ont duré une semaine, estimant que les négociations permettront au gouvernement soudanais de s'opposer aux mesures prises par les juges de la CPI contre le président soudanais.
Mahjoub Fadel, porte-parole du président soudanais, a déclaré à Khartoum devant la presse que les entretiens entre les présidents soudanais et égyptien se sont concentrés sur les relations bilatérales, l'application de l'Accord de paix global au Soudan, ainsi que la situation au Darfour.
Il a indiqué que les deux présidents ont également discuté d'un accord arabo-africain proposé par Qatar, visant à reprendre la négociation de paix entre le gouvernement soudanais et les groupes rebelles au Darfour.
Les entretiens ont également porté sur les possibles conséquences pour le Soudan d'un mandat d'arrêt qui devait être annoncé par la Cour pénale internationale (CPI) contre le président soudanais el-Béchir, accusé de génocide et de crimes de guerre, a précisé le porte-parole.
"Les deux parties partagent les mêmes points de vue sur tous les sujets abordés", a affirmé le porte-parole.
Le président égyptien a également réitéré le soutien total de son pays au Soudan, a fait savoir le porte-parole, ajoutant que M. Mubarak a promis de toujours appuyer la position du Soudan auprès de l'Organisation de la conférence islamique, la Ligue arabe et l'Union africaine.
La visite du président soudanais en Egypte fait suite à celle de l'émir du Qatar, cheikh Hamad ben Khalifa Al-Thani, samedi à Khartoum, où ce dernier s'est entretenu avec le président soudanais.
Mardi dernier, le gouvernement du Qatar a parrainé un accord de bonne volonté entre le gouvernement soudanais et le Mouvement pour la justice et l'égalité (JEM) qui a pour but d'organiser la tenue de négociations de paix visant à résoudre le conflit qui dure depuis six ans au Darfour.
Néanmoins, d'autres groupes rebelles au Darfour se sont opposés aux négociations de Doha qui ont duré une semaine, estimant que les négociations permettront au gouvernement soudanais de s'opposer aux mesures prises par les juges de la CPI contre le président soudanais.