Selon le conseiller présidentiel Ghazi Salaheddine, le conflit au Darfour est « dans sa phase finale ». Salaheddine estime que si les pourparlers en cours au Qatar entre le gouvernement et le Mouvement pour la justice et l'égalité (JEM), « se focalisent sur un cadre politique et sur un accord de cessez-le-feu, cela nous permettra de faire des progrès en vue de la paix ».
Les rebelles du JEM préfèrent, quant à eux, parler d'échange de prisonniers. Pour sa part, le chef des rebelles de l'Armée de libération du Soudan (SLA), Abdelwahid Mohammed Nour, membre de l'importante tribu Four et exilé à Paris, refuse de se joindre aux pourparlers.
« Les Four sont un élément important du processus de paix. Nous devons trouver le moyen de les faire monter à bord. Abdelwahid a une occasion historique qu'il ne devrait pas rater de s'engager sérieusement dans ces pourparlers », affirme le conseiller du président.
Les rebelles du JEM préfèrent, quant à eux, parler d'échange de prisonniers. Pour sa part, le chef des rebelles de l'Armée de libération du Soudan (SLA), Abdelwahid Mohammed Nour, membre de l'importante tribu Four et exilé à Paris, refuse de se joindre aux pourparlers.
« Les Four sont un élément important du processus de paix. Nous devons trouver le moyen de les faire monter à bord. Abdelwahid a une occasion historique qu'il ne devrait pas rater de s'engager sérieusement dans ces pourparlers », affirme le conseiller du président.