TCHAD - Des pourparlers en vue d'une conférence de paix sur le Darfour ont commencé mardi au Qatar entre le gouvernement de Khartoum et le Mouvement pour la justice et l'égalité (JEM), le plus actif des groupes rebelles de la province de l'ouest du Soudan.
D'entrée de jeu, le représentant du JEM, Jibril Ibrahim, a posé comme condition la participation de son mouvement au gouvernement central de Khartoum et le démantèlement des milices pro-gouvernementales au Darfour. "L'ordre approprié de nos négociations doit être le suivant: commencer par instaurer des mesures de confiance, lancer une déclaration de bonnes intentions et s'attaquer aux sujets du contentieux", a déclaré le chef rebelle.
Parmi les mesures de confiance, il a cité une libération des prisonniers du JEM et la garantie d'une distribution sans difficulté de l'aide humanitaire. Il a ajouté que son mouvement exigeait de "conserver ses combattants au Darfour pendant une période transitoire avant un accord final qui permettrait de les intégrer dans les forces régulières".
D'entrée de jeu, le représentant du JEM, Jibril Ibrahim, a posé comme condition la participation de son mouvement au gouvernement central de Khartoum et le démantèlement des milices pro-gouvernementales au Darfour. "L'ordre approprié de nos négociations doit être le suivant: commencer par instaurer des mesures de confiance, lancer une déclaration de bonnes intentions et s'attaquer aux sujets du contentieux", a déclaré le chef rebelle.
Parmi les mesures de confiance, il a cité une libération des prisonniers du JEM et la garantie d'une distribution sans difficulté de l'aide humanitaire. Il a ajouté que son mouvement exigeait de "conserver ses combattants au Darfour pendant une période transitoire avant un accord final qui permettrait de les intégrer dans les forces régulières".