L’iman adjoint de la grande mosquée d’Abidjan-Plateau, El hadj Youssouf Doumbia a insisté auprès des fidèles musulmans, sur l’importance que revêt le sacrifice en islam. C’était au cours de son sermon prononcé lors de la prière marquant la célébration de l’Aïd el kébir, communément appelé « Tabaski » ou encore « fête du mouton », ce lundi 12 septembre au sein ladite mosquée.
Selon lui, la commémoration de l’acte qu’Ibrahim a eu à poser, c'est-à-dire l’acte d’immolation de son fils transformé en bélier par Dieu doit interpeller tous les musulmans en cette fête de Tabaski. Cette interpellation doit se traduire, d’après El hadj Youssouf Doumbia en acte de générosité, de bienfaisance et de partage envers tous les semblables.
« Le sens spirituel du sacrifice, c’est rendre grâce à Dieu le créateur, être généreux envers tous ses semblables…. Le mouton immolé doit être partagé à ses proches, ses voisins, même s’ils ne sont pas musulmans, aux nécessiteux, etc. », a-t-il indiqué.
L’imam a également invité à l’obéissance envers Dieu et les hommes, pour avoir au bout la récompense. Non sans s’insurger contre le mariage forcé. Il a enfin adressé des prières pour la paix et la stabilité en Côte d’Ivoire et partout dans le monde.
Selon lui, la commémoration de l’acte qu’Ibrahim a eu à poser, c'est-à-dire l’acte d’immolation de son fils transformé en bélier par Dieu doit interpeller tous les musulmans en cette fête de Tabaski. Cette interpellation doit se traduire, d’après El hadj Youssouf Doumbia en acte de générosité, de bienfaisance et de partage envers tous les semblables.
« Le sens spirituel du sacrifice, c’est rendre grâce à Dieu le créateur, être généreux envers tous ses semblables…. Le mouton immolé doit être partagé à ses proches, ses voisins, même s’ils ne sont pas musulmans, aux nécessiteux, etc. », a-t-il indiqué.
L’imam a également invité à l’obéissance envers Dieu et les hommes, pour avoir au bout la récompense. Non sans s’insurger contre le mariage forcé. Il a enfin adressé des prières pour la paix et la stabilité en Côte d’Ivoire et partout dans le monde.