NEW YORK (Nations Unies) -- Le lac Tchad, qui couvrait autrefois 25.000 km2 et a été réduit à un cinquième de sa taille par la sécheresse, constitue un exemple de la coopération régionale indispensable à la survie d'un réservoir d'eau vital, indique vendredi l'ONU.
Le lac est partagé par le Tchad, le Cameroun, le Nigeria, et le Niger, où l'eau a totalement disparu, ce qui entraîne des pêcheurs comme Mustapha Adamou à suivre les eaux jusqu'au Tchad, ainsi que le montre un récent reportage vidéo de la série "L'ONU en action" intitulé "Le sauvetage du lac Tchad".
D'ici à 2020, près de 35 millions de personnes - le double de la population actuelle - dépendra du lac Tchad pour sa survie, selon le documentaire, et les eaux pourraient disparaître totalement si rien n'est fait.
La seule solution réside dans la coopération régionale, ainsi que le promeut la Journée mondiale de l'eau célébrée le 21 mars.
Un des projets envisage de construire un canal de 100 à 150 km pour détourner de l'eau de la rivière Oubangui, en République centrafricaine.
Cela fait des années que la Commission sur le bassin du lac Tchad appelle à un soutien international à cet effet.
En attendant, des agriculteurs comme Musa ont vu les eaux baisser à tel point qu'ils doivent né gocier avec leurs voisins pour savoir quand ils peuvent irriguer.
A l'intérieur des terres, au Sahel, en voie de désertification, le berger Adam se souvient pour sa part que sa famille avait dû déménager lorsque l'eau est venue à manquer.
Le lac est partagé par le Tchad, le Cameroun, le Nigeria, et le Niger, où l'eau a totalement disparu, ce qui entraîne des pêcheurs comme Mustapha Adamou à suivre les eaux jusqu'au Tchad, ainsi que le montre un récent reportage vidéo de la série "L'ONU en action" intitulé "Le sauvetage du lac Tchad".
D'ici à 2020, près de 35 millions de personnes - le double de la population actuelle - dépendra du lac Tchad pour sa survie, selon le documentaire, et les eaux pourraient disparaître totalement si rien n'est fait.
La seule solution réside dans la coopération régionale, ainsi que le promeut la Journée mondiale de l'eau célébrée le 21 mars.
Un des projets envisage de construire un canal de 100 à 150 km pour détourner de l'eau de la rivière Oubangui, en République centrafricaine.
Cela fait des années que la Commission sur le bassin du lac Tchad appelle à un soutien international à cet effet.
En attendant, des agriculteurs comme Musa ont vu les eaux baisser à tel point qu'ils doivent né gocier avec leurs voisins pour savoir quand ils peuvent irriguer.
A l'intérieur des terres, au Sahel, en voie de désertification, le berger Adam se souvient pour sa part que sa famille avait dû déménager lorsque l'eau est venue à manquer.