Il n’est un secret pour personne, les opérateurs de téléphonie mobile au Tchad proposent des services ne répondant pas aux exigences et aux normes. Appeler de l’extérieur notamment de l’Amérique du nord relève d’un véritable parcours du combat pour avoir son contact. Et là aussi, la communication n’est qu’éphémère, en réponse à votre appel, vous aurez la désagréable surprise de recevoir en écho et en rafale les dernières paroles de votre correspondant.
Le 8 août 2012 par le directeur général de l'OTRT avait condamné à une amende de 1,1 milliard de FCFA les opérateurs Airtel, Tigo et Salam pour des manquements aux cahiers de charge. Cela n’a pas du tout empêché les opérateurs faisant affaire au Tchad de verser dans la médiocrité et l’amateurisme. Les objectifs d’échec d’établissement d’appel vont croissant entre les usagers du réseau intérieur que ceux de l’extérieur du pays. Le taux de réussite d’appel est complètement aléatoire. On ne peut à coup sur tomber sur son correspondant.
Dans l’optique où la communication entre en grande partie dans le développement d’un pays, l’État doit revoir sa stratégie et promulguer un nouveau code des Télécommunications idoine afin de mieux surveiller les activités des operateurs de téléphonie mobile. Les sociétés défaillantes devraient être sévèrement rappelées à l’ordre par des sanctions pécuniaires exemplaires et dissuasives. On devrait les réprimer à faisant des prélèvements de montant allant de 4 a 10% sur leur chiffre d’affaire de l’exercice écoulé. Et c’est de cette manière que nous pourrions contraindre ces sociétés à offrir des services acceptables et bénéfiques pour les citoyens et le pays.
Le 8 août 2012 par le directeur général de l'OTRT avait condamné à une amende de 1,1 milliard de FCFA les opérateurs Airtel, Tigo et Salam pour des manquements aux cahiers de charge. Cela n’a pas du tout empêché les opérateurs faisant affaire au Tchad de verser dans la médiocrité et l’amateurisme. Les objectifs d’échec d’établissement d’appel vont croissant entre les usagers du réseau intérieur que ceux de l’extérieur du pays. Le taux de réussite d’appel est complètement aléatoire. On ne peut à coup sur tomber sur son correspondant.
Dans l’optique où la communication entre en grande partie dans le développement d’un pays, l’État doit revoir sa stratégie et promulguer un nouveau code des Télécommunications idoine afin de mieux surveiller les activités des operateurs de téléphonie mobile. Les sociétés défaillantes devraient être sévèrement rappelées à l’ordre par des sanctions pécuniaires exemplaires et dissuasives. On devrait les réprimer à faisant des prélèvements de montant allant de 4 a 10% sur leur chiffre d’affaire de l’exercice écoulé. Et c’est de cette manière que nous pourrions contraindre ces sociétés à offrir des services acceptables et bénéfiques pour les citoyens et le pays.
Abbas Kayangar