Dans cette note, le ministre rappelle à ses collaborateurs, directeurs des hôpitaux et délégués provinciaux, qu'il est "formellement interdit de mettre à disposition de tout usager les statistiques relatives au nombre de blessés et de décès liés aux tirs de joie". Cette interdiction s'aligne sur les "orientations des plus hautes autorités du pays".
La note ministérielle va plus loin en interdisant également "d'autoriser aux organes de presse et tout autre citoyen d'interroger ou de photographier les blessés dans les formations sanitaires sans autorisation expresse du Ministre de la Santé Publique et de la Prévention".
Les motivations précises derrière ces restrictions n'ont pas été explicitées dans la note ministérielle. Cependant, il est possible que les autorités tchadiennes cherchent à limiter la diffusion d'informations qui pourraient être perçues comme sensibles ou nuisibles à l'ordre public.
Il reste à voir comment cette décision sera accueillie par les médias et la société civile tchadienne. Certains pourraient y voir une entrave à la liberté d'information et à la transparence, tandis que d'autres pourraient soutenir la décision du gouvernement comme étant nécessaire pour maintenir l'ordre public.
Cette décision aura certainement un impact sur la manière dont les informations sur les victimes des tirs de joie sont collectées et diffusées au Tchad. Il est important de suivre de près l'évolution de la situation et de voir comment cette décision sera mise en œuvre dans les prochains jours.
La note ministérielle va plus loin en interdisant également "d'autoriser aux organes de presse et tout autre citoyen d'interroger ou de photographier les blessés dans les formations sanitaires sans autorisation expresse du Ministre de la Santé Publique et de la Prévention".
Les motivations précises derrière ces restrictions n'ont pas été explicitées dans la note ministérielle. Cependant, il est possible que les autorités tchadiennes cherchent à limiter la diffusion d'informations qui pourraient être perçues comme sensibles ou nuisibles à l'ordre public.
Il reste à voir comment cette décision sera accueillie par les médias et la société civile tchadienne. Certains pourraient y voir une entrave à la liberté d'information et à la transparence, tandis que d'autres pourraient soutenir la décision du gouvernement comme étant nécessaire pour maintenir l'ordre public.
Cette décision aura certainement un impact sur la manière dont les informations sur les victimes des tirs de joie sont collectées et diffusées au Tchad. Il est important de suivre de près l'évolution de la situation et de voir comment cette décision sera mise en œuvre dans les prochains jours.