Le câble sous-marin EASSy qui vient d’être inauguré fournira, entre autres, des connexions internet permettant de transmettre des informations à une vitesse jusqu'à 40 fois supérieure à celle des connections par ligne téléphonique.
Il connectera l'Afrique du Sud, le Mozambique, Madagascar, la Tanzanie, le Kenya, Djibouti et le Soudan. Treize autres pays limitrophes devraient en bénéficier : le Botswana, le Burundi, la République centrafricaine, la République démocratique du Congo, le Tchad, l'Ethiopie, le Lesotho, le Malawi, le Rwanda, le Swaziland, l'Ouganda, la Zambie et le Zimbabwe.
« C'est un jour historique pour l'Afrique, pour les communications entre le continent et le reste du monde », a déclaré Brian Herlihy, le directeur général de la société de télécommunications SEA Cable System (Seacom) qui a posé le câble. La Banque africaine de développement (BAD) a déjà injecté 11,3 millions d'euros dans ce projet EASSy pour de la navigation à grande vitesse et des images en haute définition sur le continent, pour une Afrique qui ne sera plus exclue de la révolution numérique mondiale. Reste le problème d’acheminer ce haut débit chez le particulier. Mais là, c’est une autre histoire.
Il connectera l'Afrique du Sud, le Mozambique, Madagascar, la Tanzanie, le Kenya, Djibouti et le Soudan. Treize autres pays limitrophes devraient en bénéficier : le Botswana, le Burundi, la République centrafricaine, la République démocratique du Congo, le Tchad, l'Ethiopie, le Lesotho, le Malawi, le Rwanda, le Swaziland, l'Ouganda, la Zambie et le Zimbabwe.
« C'est un jour historique pour l'Afrique, pour les communications entre le continent et le reste du monde », a déclaré Brian Herlihy, le directeur général de la société de télécommunications SEA Cable System (Seacom) qui a posé le câble. La Banque africaine de développement (BAD) a déjà injecté 11,3 millions d'euros dans ce projet EASSy pour de la navigation à grande vitesse et des images en haute définition sur le continent, pour une Afrique qui ne sera plus exclue de la révolution numérique mondiale. Reste le problème d’acheminer ce haut débit chez le particulier. Mais là, c’est une autre histoire.