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Selon un document daté d’il y a deux semaines, l’armée de l’air tchadienne avait demandé à l’attaché de défense de l’ambassade des États-Unis au Tchad d’« arrêter immédiatement toute activité » sur la base aérienne de Koseï, située en plein centre-ville de la capitale tchadienne. La lettre indique que les troupes américaines devront se retirer de cette base, faute d’avoir pu fournir les documents justifiant leur présence. Le Tchad menace même d’annuler l’accord sur le statut des forces qui régule leur coopération.
L’inquiétude est palpable du côté des États-Unis, et certains analystes spéculent sur un possible revirement d’alliance. D’autres considèrent cette démarche comme un moyen pour Ndjamena de faire monter les enchères, profitant de sa position de dernier allié des Occidentaux au Sahel. Pour l’instant, ni le gouvernement tchadien ni l’ambassade des États-Unis au Tchad n’ont répondu aux sollicitations.
Cette situation soulève des questions importantes concernant la stabilité et la sécurité dans la région, et elle mérite une attention continue.
L’inquiétude est palpable du côté des États-Unis, et certains analystes spéculent sur un possible revirement d’alliance. D’autres considèrent cette démarche comme un moyen pour Ndjamena de faire monter les enchères, profitant de sa position de dernier allié des Occidentaux au Sahel. Pour l’instant, ni le gouvernement tchadien ni l’ambassade des États-Unis au Tchad n’ont répondu aux sollicitations.
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