Beaucoup de gens s'interrogent sur le mutisme observé par la justice Tchadienne sur l'inertie du dossier de l'assassinat de Hadje Haoua Abba. Pendant un an et quelques jours, rien n'a été fait et rien n'est entrain d'être fait pour faire avancer l'enquête se trouvant bonnement dans l'impasse.
Ces bandits qui ont froidement assassiné à l'aide d'une arme de guerre de marque Famas, Hadje Haoua Abba, une vieille femme sans défense, dans la capitale Tchadienne, ont emporté une quantité impressionnante de 33kg d'or, estimé à 733 millions de nos francs CFA.
Beaucoup de zones d'ombres entourent cette affaire de gros sous. Comment peut-on comprendre que le 4ème substitut du procureur aurait mis, quelques heures après l'assassinat, en contribution les compagnies de téléphonie mobile pour repérer tous les appels effectués dans ce secteur, ce qui permettrait de remonter directement vers les commanditaires de cet acte ? Des rumeurs qui ont circulé à N'Djamena, quelques jours après l'assassinat, faisait état de l'arrestation de ces présumés criminels, mais elles ont finis par se volatiliser.
D'autres sources ont indiqué que les auteurs de ce crime auraient été retrouvés par les forces de l'ordre avant d'être libérés. Le 4eme substitut du procureur et certains officiers des forces de l'ordre réputés être proches de réseaux mafieux se seraient partagés le butin de guerre récupéré entre les mains de bandits pour enterrer définitivement l'enquête. Cette quantité d'or aurait été vendue à un Tchadien se trouvant au Mali qui l'aurait vendu à un richissime malien, d'après une autre source.
Ce compatriote Tchadien qui vit de petits commerces au Mali, se serait enrichi grâce à cette affaire juteuse, lui permettant d'acheter une maison luxueuse à N'Djamena.
Pourtant, la plupart des auteurs d'actes criminels commis à N'Djamena sont généralement identifiés et arrêtés, notamment ceux qui se réfugient au Cameroun voisin.
Dans les affaires de gros sous, les apôtres de gain facile sont nombreux tant bien dans le milieux des autorités civiles et militaires. On peut certes échapper à la justice de l'homme mais nul ne peut échapper à la justice divine.
Ces bandits qui ont froidement assassiné à l'aide d'une arme de guerre de marque Famas, Hadje Haoua Abba, une vieille femme sans défense, dans la capitale Tchadienne, ont emporté une quantité impressionnante de 33kg d'or, estimé à 733 millions de nos francs CFA.
Beaucoup de zones d'ombres entourent cette affaire de gros sous. Comment peut-on comprendre que le 4ème substitut du procureur aurait mis, quelques heures après l'assassinat, en contribution les compagnies de téléphonie mobile pour repérer tous les appels effectués dans ce secteur, ce qui permettrait de remonter directement vers les commanditaires de cet acte ? Des rumeurs qui ont circulé à N'Djamena, quelques jours après l'assassinat, faisait état de l'arrestation de ces présumés criminels, mais elles ont finis par se volatiliser.
D'autres sources ont indiqué que les auteurs de ce crime auraient été retrouvés par les forces de l'ordre avant d'être libérés. Le 4eme substitut du procureur et certains officiers des forces de l'ordre réputés être proches de réseaux mafieux se seraient partagés le butin de guerre récupéré entre les mains de bandits pour enterrer définitivement l'enquête. Cette quantité d'or aurait été vendue à un Tchadien se trouvant au Mali qui l'aurait vendu à un richissime malien, d'après une autre source.
Ce compatriote Tchadien qui vit de petits commerces au Mali, se serait enrichi grâce à cette affaire juteuse, lui permettant d'acheter une maison luxueuse à N'Djamena.
Pourtant, la plupart des auteurs d'actes criminels commis à N'Djamena sont généralement identifiés et arrêtés, notamment ceux qui se réfugient au Cameroun voisin.
Dans les affaires de gros sous, les apôtres de gain facile sont nombreux tant bien dans le milieux des autorités civiles et militaires. On peut certes échapper à la justice de l'homme mais nul ne peut échapper à la justice divine.