Ces propos du chef de la diplomatie tchadienne ont été prononcés le 5 juin 2024, lors de la conférence de presse conjointe avec Sergueï Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères à N’Djamena.
« (…) nous sommes le seul pays au monde à supporter la guerre du Soudan. Nous sommes le seul pays du monde à comprendre que la guerre du Soudan peut avoir des répercussions fâcheuses sur notre pays, tant sur le plan humanitaire que sur le plan militaire et sur la sécurité publique. (…)
Nous n’avons aucune intention d'entrer dans le conflit soudanais et nous ne sommes pas impliqués dans le conflit. Je demande à la Fédération de Russie d’aider le Tchad, car qui mieux que nous est capable de faire une médiation et d'amener la paix dans ce pays. (…)
Le Tchad et le Soudan partagent 1084 kilomètres de frontières communes. Nous avons les mêmes peuples qui vivent des deux côtés de la frontière », Abderaman Koulamallah, ministre d’État, ministre des Affaires étrangères du Tchad.
« (…) nous sommes le seul pays au monde à supporter la guerre du Soudan. Nous sommes le seul pays du monde à comprendre que la guerre du Soudan peut avoir des répercussions fâcheuses sur notre pays, tant sur le plan humanitaire que sur le plan militaire et sur la sécurité publique. (…)
Nous n’avons aucune intention d'entrer dans le conflit soudanais et nous ne sommes pas impliqués dans le conflit. Je demande à la Fédération de Russie d’aider le Tchad, car qui mieux que nous est capable de faire une médiation et d'amener la paix dans ce pays. (…)
Le Tchad et le Soudan partagent 1084 kilomètres de frontières communes. Nous avons les mêmes peuples qui vivent des deux côtés de la frontière », Abderaman Koulamallah, ministre d’État, ministre des Affaires étrangères du Tchad.