Le torchon brûle entre le maire de la commune du 3ème arrondissement de la ville de N'Djamena et ses adjoints, depuis quelques temps dans cette circonscription administrative de la capitale Tchadienne.
Tout est parti d'un différent lorsque le maire de la commune du 3ème arrondissement, Sami Michel Micho, un fervent militant du parti au pouvoir, depuis sa prise de fonction le 30 juin 2016, a centralisé toutes les activités de ladite institution à son niveau, empiétant constamment sur toutes les prérogatives de ses adjoints.
Ce dernier aurait également pris à mainte reprise des décisions d'une manière unilatérale sans aviser ses collaborateurs, ne les tenant même pas au courant de certaines activités concernant la commune du 3ème arrondissement.
Ce manque de considération et de collaboration de ce maire réputé pour son incompétence notoire et son arrogance inégalée, l'a inévitablement conduit à rompre tout contact avec son adjoint Babikir Ahmat Koulamallah, son secrétaire général Djogui Joël et son receveur Joroubo.
Après avoir échangé des propos injurieux avec son adjoint, ils ont failli se battre dans l'enceinte de l'administration, n'eut été l'intervention de l'assistance pour les séparer. Par la suite, il aurait invite son adjoint, non loin du marigot d'Ardebjoumal pour un règlement de comptes. Depuis lors, ils se regardent en chien de faïence.
Pour le moment, son adjoint Babikir Ahmat Koulamallah se contente d'une seule prérogative qui est celle de signer les copies d'actes de naissance.
Ce climat de méfiance et de guéguerre permanente ne font que contribuer à saper la bonne marche de la commune du 3ème arrondissement si et seulement si des décisions salutaires et à la fois contraignantes ne seront pas prises par les autorités pour remettre de l'ordre en mettant chacun à sa place, afin d'apaiser les tensions liées à la crise de compétence.
Il est vraiment temps que le MPS choisisse des cadres compétents pour les propulser dans certains postes stratégiques pour la bonne marche de la société plutôt que de coopter des personnes sorties de nulle part, sans aucune compétence et qui se proclament chefs de tout, mais en réalité responsables de rien et, qui participent à la destruction et à la dévalorisation de certaines entités administratives importantes.
Tout est parti d'un différent lorsque le maire de la commune du 3ème arrondissement, Sami Michel Micho, un fervent militant du parti au pouvoir, depuis sa prise de fonction le 30 juin 2016, a centralisé toutes les activités de ladite institution à son niveau, empiétant constamment sur toutes les prérogatives de ses adjoints.
Ce dernier aurait également pris à mainte reprise des décisions d'une manière unilatérale sans aviser ses collaborateurs, ne les tenant même pas au courant de certaines activités concernant la commune du 3ème arrondissement.
Ce manque de considération et de collaboration de ce maire réputé pour son incompétence notoire et son arrogance inégalée, l'a inévitablement conduit à rompre tout contact avec son adjoint Babikir Ahmat Koulamallah, son secrétaire général Djogui Joël et son receveur Joroubo.
Après avoir échangé des propos injurieux avec son adjoint, ils ont failli se battre dans l'enceinte de l'administration, n'eut été l'intervention de l'assistance pour les séparer. Par la suite, il aurait invite son adjoint, non loin du marigot d'Ardebjoumal pour un règlement de comptes. Depuis lors, ils se regardent en chien de faïence.
Pour le moment, son adjoint Babikir Ahmat Koulamallah se contente d'une seule prérogative qui est celle de signer les copies d'actes de naissance.
Ce climat de méfiance et de guéguerre permanente ne font que contribuer à saper la bonne marche de la commune du 3ème arrondissement si et seulement si des décisions salutaires et à la fois contraignantes ne seront pas prises par les autorités pour remettre de l'ordre en mettant chacun à sa place, afin d'apaiser les tensions liées à la crise de compétence.
Il est vraiment temps que le MPS choisisse des cadres compétents pour les propulser dans certains postes stratégiques pour la bonne marche de la société plutôt que de coopter des personnes sorties de nulle part, sans aucune compétence et qui se proclament chefs de tout, mais en réalité responsables de rien et, qui participent à la destruction et à la dévalorisation de certaines entités administratives importantes.