D’après le président de l’ACAT-Tchad, Seïlou Dorsouma, les femmes comptaient célébrer pour la première fois la JIF. Cependant, des évènements douloureux ont eu lieu au Tchad, faisant de nombreuses victimes.
La chargée de formation à l‘ACAT, Maître Nodjiwam Julie, cite le deuil du Maréchal Idriss Deby, suivi des tueries perpétrées par les forces de défense et de sécurité sur des manifestants pacifiques notamment à Abéché, N’Djamena ainsi que des actes de vengeance ayant causé plusieurs morts à Sandana du fait de laxisme des autorités provinciales.
Ainsi, les femmes de l’ACAT-Tchad ont préféré ne pas fêter la JIF mais s’habiller en tenue de deuil. Elles appellent les autres femmes sœurs à se joindre à elles. "La vie humaine est sacrée mais malheureusement au Tchad, elle est bafouée", déplore Maître Nodjiwam Julie.
L'ACAT dénombre 54 morts au cours des évènements d'Abéché, de Sandana et lors de la manifestation de Wakit Tamma au lendemain de l'instauration du Conseil militaire de transition.
La chargée de formation à l‘ACAT, Maître Nodjiwam Julie, cite le deuil du Maréchal Idriss Deby, suivi des tueries perpétrées par les forces de défense et de sécurité sur des manifestants pacifiques notamment à Abéché, N’Djamena ainsi que des actes de vengeance ayant causé plusieurs morts à Sandana du fait de laxisme des autorités provinciales.
Ainsi, les femmes de l’ACAT-Tchad ont préféré ne pas fêter la JIF mais s’habiller en tenue de deuil. Elles appellent les autres femmes sœurs à se joindre à elles. "La vie humaine est sacrée mais malheureusement au Tchad, elle est bafouée", déplore Maître Nodjiwam Julie.
L'ACAT dénombre 54 morts au cours des évènements d'Abéché, de Sandana et lors de la manifestation de Wakit Tamma au lendemain de l'instauration du Conseil militaire de transition.