Une conférence-débat organisée le 31 août 2019 à N'Djamena sur les défis et perspectives de la cohabitation pacifique au Tchad. © Alwihda Info
Une conférence-débat a été organisée ce samedi 31 août à N'Djamena par la Campagne nationale pour le renforcement de la cohabitation pacifique au Tchad (CNRCPT). L'évènement, axé sur les défis et perspectives de la cohabitation pacifique au Tchad", a eu lieu dans la salle de conférence de la Bibliothèque nationale.
Plusieurs conférenciers ont animé les débats, notamment Dr. Ali Abdramane Haggar et Dr. Alaabid Moustapha Albachir. L'évènement a vu la participation de différentes personnalités, acteurs de la société civile et du milieu associatif, dont le conseiller technique du chef de l'Etat aux affaires étrangères, Acheikh Ibni Oumar et la préfet du Batha Ouest, Fatimé Boukar Kosseï.
Les participants ont échangé sur la question des conflits intercommunautaires, ses causes, ses conséquences et les solutions envisagées pour son éradication.
D'après Dr. Ali Abdramane Haggar, "les causes des conflits intercommunautaires au Tchad sont d'ordre : naturelles, humaines, politiques et socio-culturelles".
"Le changement de la gouvernance est la meilleure solution pour résoudre le problème des conflits intercommunautaires au Tchad. L'éducation de la population, la lutte contre la pauvreté, l'emploi des jeunes et la cohabitation pacifique entre les agriculteurs et éleveurs sont aussi des solutions non négligeables", a indiqué Dr. Ali Abdramane Haggar.
Le conférencier Dr. Alaabid Moustapha Albachir a indiqué que "la cohabitation pacifique a ses racines profondes sur la communauté tchadienne", notamment à cause de "la colonisation française et de l'ingérence dans les affaires du Tchad", qui sont parmi les "causes principales des conflits intercommunautaires."
Selon lui, "quelques solutions sont envisageables" pour résoudre le problème des conflits intercommunautaires au Tchad, notamment "le respect des droits de l'Homme, le respect de la diversité culturelle et linguistique, mais surtout la résolution des conflits (entre) agriculteurs et éleveurs".
Plusieurs conférenciers ont animé les débats, notamment Dr. Ali Abdramane Haggar et Dr. Alaabid Moustapha Albachir. L'évènement a vu la participation de différentes personnalités, acteurs de la société civile et du milieu associatif, dont le conseiller technique du chef de l'Etat aux affaires étrangères, Acheikh Ibni Oumar et la préfet du Batha Ouest, Fatimé Boukar Kosseï.
Les participants ont échangé sur la question des conflits intercommunautaires, ses causes, ses conséquences et les solutions envisagées pour son éradication.
D'après Dr. Ali Abdramane Haggar, "les causes des conflits intercommunautaires au Tchad sont d'ordre : naturelles, humaines, politiques et socio-culturelles".
"Le changement de la gouvernance est la meilleure solution pour résoudre le problème des conflits intercommunautaires au Tchad. L'éducation de la population, la lutte contre la pauvreté, l'emploi des jeunes et la cohabitation pacifique entre les agriculteurs et éleveurs sont aussi des solutions non négligeables", a indiqué Dr. Ali Abdramane Haggar.
Le conférencier Dr. Alaabid Moustapha Albachir a indiqué que "la cohabitation pacifique a ses racines profondes sur la communauté tchadienne", notamment à cause de "la colonisation française et de l'ingérence dans les affaires du Tchad", qui sont parmi les "causes principales des conflits intercommunautaires."
Selon lui, "quelques solutions sont envisageables" pour résoudre le problème des conflits intercommunautaires au Tchad, notamment "le respect des droits de l'Homme, le respect de la diversité culturelle et linguistique, mais surtout la résolution des conflits (entre) agriculteurs et éleveurs".
Une conférence-débat organisée le 31 août 2019 à N'Djamena sur les défis et perspectives de la cohabitation pacifique au Tchad. © Alwihda Info
Une conférence-débat organisée le 31 août 2019 à N'Djamena sur les défis et perspectives de la cohabitation pacifique au Tchad. © Alwihda Info