Cependant, pour la majorité des hommes, l’infertilité est traditionnellement associée aux femmes. Mais en réalité, c'est une accusation à tort. Souvent causé par de troubles quantitatifs du spermogramme, dont les facteurs associés sont : les infections sexuellement transmissibles non soignées, pollution, stress, tabac et alcool.
La question d'infertilité ne fait pas faire exception de genre selon un magazine de santé. Cependant, l’infertilité est définie comme l’impossibilité pour un couple d’obtenir une grossesse au bout de 12 mois en ayant des rapports sexuels réguliers.
Cela est valable pour un couple stable en âge de procréer. Toutefois, dans de nombreuses sociétés africaines, tout comme chez nous, l’absence d’une naissance après une certaine période ouvre la voie aux discours dégradants, à la stigmatisation et aux conflits familiaux.
Malheureusement, dans la plupart des cas, les soupçons sont d’emblée portés vers la femme. Comme, c’est elle qui porte la grossesse et qui donne naissance au nouvel être, elle est supposée apporter les premières preuves de fertilité. Dans les ménages, les femmes subissent toutes formes de discrimination. Elles sont taxées de tous les maux et subissent la punition sociale d’être interrogées par qui que ce soit sur leur vie conjugale.
Par ignorance, beaucoup d’hommes infertiles épousent d’abord une deuxième femme, pourtant la pathologie d'infertilité ne concerne pas seulement les femmes. C'est pourquoi un couple qui est confronté à l'infertilité doit discuter ouvertement et honnêtement, sans se jeter les cailloux.
Au fait, face à ce phénomène qui fragilise le tissu familial, de nombreux de couples consultent souvent des tradipatriciens ou marabout, au détriment des médecins spécialisés. Pour ces derniers, l'infertilité dans un couple constitue un marché lucratif, car ils sont prêts à dépenser des millions pour avoir un enfant.
Car dans notre société, un ménage sans enfant est qualifié de tous les noms d'oiseaux. Certes, il en manque d’études nationales, mais selon un magazine de santé, l’infertilité due à l’alcoolisme est de 78%, aux troubles érectiles représentent 46%, au tabagisme représente uniquement 27%.
Notamment beaucoup d’hommes de moins de 30 ans souffrent de testicules non fonctionnels ou qui ne produisent pas ou peu de spermatozoïdes, conclut cette étude. Cependant, selon l'explication de l'étude, la plupart des hommes pensent que le fait d’éjaculer est un gage de fécondité, mais il peut y avoir d’autres anomalies liées à la qualité, à la quantité et à la mobilité des spermatozoïdes qui entrent en jeu.
Les auteurs de l’étude révèlent que l’éjaculation normale pousse les jeunes hommes à consulter les spécialistes de la santé reproductive. Ainsi, dans les couples, les conjoints qui avaient un éjaculat normal se disent qu’ils exécutent correctement l’acte sexuel et se dédouanent qu’ils ne sont pas à l’origine de l’infertilité du couple.
Pourtant, ce sont plutôt des anomalies plus qualitatives que quantitatives. Ce sont notamment la leucospermie (présence anormale des globules blancs), l’asthénozoospermie (une diminution ou une absence de la mobilité des spermatozoïdes), l’oligozoospermie modérée (une concentration insuffisante de spermatozoïdes dans un éjaculat), l’azoospermie (absence totale de spermatozoïdes dans leur sperme) et l’hypospermie laisse attendre cette étude.
Tout de même, il est temps pour les jeunes mariés à ne pas confondre l’infertilité à la stérilité, qui est l’incapacité totale d’un couple d’avoir un enfant. Toutefois, l’infertilité masculine est un phénomène banalisé par notre société.
Mais force est de constater qu'elle existe bel et bien, cependant, la bonne nouvelle est qu’il y a des traitements spécifiques pour cette affection. En témoigne, de nombreux médecins dans ce domaine. C'est pourquoi, le mieux est d’encourager les couples infertiles à consulter les médecins spécialisés pour établir un diagnostic, pour un résultat positif que de croire à des suppositions ou de pointer l'autre partenaire.
La question d'infertilité ne fait pas faire exception de genre selon un magazine de santé. Cependant, l’infertilité est définie comme l’impossibilité pour un couple d’obtenir une grossesse au bout de 12 mois en ayant des rapports sexuels réguliers.
Cela est valable pour un couple stable en âge de procréer. Toutefois, dans de nombreuses sociétés africaines, tout comme chez nous, l’absence d’une naissance après une certaine période ouvre la voie aux discours dégradants, à la stigmatisation et aux conflits familiaux.
Malheureusement, dans la plupart des cas, les soupçons sont d’emblée portés vers la femme. Comme, c’est elle qui porte la grossesse et qui donne naissance au nouvel être, elle est supposée apporter les premières preuves de fertilité. Dans les ménages, les femmes subissent toutes formes de discrimination. Elles sont taxées de tous les maux et subissent la punition sociale d’être interrogées par qui que ce soit sur leur vie conjugale.
Par ignorance, beaucoup d’hommes infertiles épousent d’abord une deuxième femme, pourtant la pathologie d'infertilité ne concerne pas seulement les femmes. C'est pourquoi un couple qui est confronté à l'infertilité doit discuter ouvertement et honnêtement, sans se jeter les cailloux.
Au fait, face à ce phénomène qui fragilise le tissu familial, de nombreux de couples consultent souvent des tradipatriciens ou marabout, au détriment des médecins spécialisés. Pour ces derniers, l'infertilité dans un couple constitue un marché lucratif, car ils sont prêts à dépenser des millions pour avoir un enfant.
Car dans notre société, un ménage sans enfant est qualifié de tous les noms d'oiseaux. Certes, il en manque d’études nationales, mais selon un magazine de santé, l’infertilité due à l’alcoolisme est de 78%, aux troubles érectiles représentent 46%, au tabagisme représente uniquement 27%.
Notamment beaucoup d’hommes de moins de 30 ans souffrent de testicules non fonctionnels ou qui ne produisent pas ou peu de spermatozoïdes, conclut cette étude. Cependant, selon l'explication de l'étude, la plupart des hommes pensent que le fait d’éjaculer est un gage de fécondité, mais il peut y avoir d’autres anomalies liées à la qualité, à la quantité et à la mobilité des spermatozoïdes qui entrent en jeu.
Les auteurs de l’étude révèlent que l’éjaculation normale pousse les jeunes hommes à consulter les spécialistes de la santé reproductive. Ainsi, dans les couples, les conjoints qui avaient un éjaculat normal se disent qu’ils exécutent correctement l’acte sexuel et se dédouanent qu’ils ne sont pas à l’origine de l’infertilité du couple.
Pourtant, ce sont plutôt des anomalies plus qualitatives que quantitatives. Ce sont notamment la leucospermie (présence anormale des globules blancs), l’asthénozoospermie (une diminution ou une absence de la mobilité des spermatozoïdes), l’oligozoospermie modérée (une concentration insuffisante de spermatozoïdes dans un éjaculat), l’azoospermie (absence totale de spermatozoïdes dans leur sperme) et l’hypospermie laisse attendre cette étude.
Tout de même, il est temps pour les jeunes mariés à ne pas confondre l’infertilité à la stérilité, qui est l’incapacité totale d’un couple d’avoir un enfant. Toutefois, l’infertilité masculine est un phénomène banalisé par notre société.
Mais force est de constater qu'elle existe bel et bien, cependant, la bonne nouvelle est qu’il y a des traitements spécifiques pour cette affection. En témoigne, de nombreux médecins dans ce domaine. C'est pourquoi, le mieux est d’encourager les couples infertiles à consulter les médecins spécialisés pour établir un diagnostic, pour un résultat positif que de croire à des suppositions ou de pointer l'autre partenaire.