Le bureau de l'Assemblée nationale a tenu une réunion extraordinaire ce samedi 9 février afin d'examiner la situation sécuritaire qui prévaut au nord-est du Tchad. Les membres du bureau de l'Assemblée nationale constatent que le Tchad est "une fois de plus victime d'agression de bandes d'aventuriers tendant à déstabiliser les institutions de la République".
Face à cette situation, l'Assemblée nationale appelle à "un comportement patriote et responsable de tous." Elle dit "constater avec amertume une instrumentalisation de certains fils du Tchad pour des fins inavouées."
Elle déplore et regrette les "déclarations malencontreuses de certains leaders politiques" et rappelle que "rien ne vaut plus pour une population que la paix, la quiétude et la sécurité."
La représentation nationale est inquiète de voir que "certains tchadiens ont vite fait d'oublier les affres de la guerre sinon ils ne feraient pas l'apologie de ces actes terroristes."
"La guerre est désastreuse et n'entraine que la destruction du pays. Nous devons contribuer âprement pour que la paix et la stabilité puissent permettre de consolider davantage le développement et l'épanouissement des populations", souligne-t-elle.
L'Assemblée nationale explique "qu'il est insensé de penser que l'Etat qui a la charge de la sécurité du Tchad à l'intérieur de ses frontières et contre la menace venue de l'extérieur ne puisse pas faire usage des accords d'assistance et de défense conclus avec les pays amis."
Elle rappelle que les tchadiens doivent être fiers de tous les engagements politiques et militaires du Tchad à l'extérieur, dans la lutte contre le terrorisme.
"L'ère de la prise de pouvoir par les armes est révolue et proscrite, conformément aux résolutions de la conférence nationale souveraine de 1993. Ceux de nos concitoyens qui aspireraient à conquérir le pouvoir d'Etat n'ont qu'à s'inscrire dans la logique du jeu démocratique, c'est-à-dire l'accès au pouvoir par la seule voie des urnes", affirme le premier vice-président de l'Assemblée nationale, Moussa Kadam.
Face à cette situation, l'Assemblée nationale appelle à "un comportement patriote et responsable de tous." Elle dit "constater avec amertume une instrumentalisation de certains fils du Tchad pour des fins inavouées."
Elle déplore et regrette les "déclarations malencontreuses de certains leaders politiques" et rappelle que "rien ne vaut plus pour une population que la paix, la quiétude et la sécurité."
La représentation nationale est inquiète de voir que "certains tchadiens ont vite fait d'oublier les affres de la guerre sinon ils ne feraient pas l'apologie de ces actes terroristes."
"La guerre est désastreuse et n'entraine que la destruction du pays. Nous devons contribuer âprement pour que la paix et la stabilité puissent permettre de consolider davantage le développement et l'épanouissement des populations", souligne-t-elle.
L'Assemblée nationale explique "qu'il est insensé de penser que l'Etat qui a la charge de la sécurité du Tchad à l'intérieur de ses frontières et contre la menace venue de l'extérieur ne puisse pas faire usage des accords d'assistance et de défense conclus avec les pays amis."
Elle rappelle que les tchadiens doivent être fiers de tous les engagements politiques et militaires du Tchad à l'extérieur, dans la lutte contre le terrorisme.
"L'ère de la prise de pouvoir par les armes est révolue et proscrite, conformément aux résolutions de la conférence nationale souveraine de 1993. Ceux de nos concitoyens qui aspireraient à conquérir le pouvoir d'Etat n'ont qu'à s'inscrire dans la logique du jeu démocratique, c'est-à-dire l'accès au pouvoir par la seule voie des urnes", affirme le premier vice-président de l'Assemblée nationale, Moussa Kadam.