Au tour d’une table ronde de trois heures, ce mercredi 09 mars 2022 à l’Institut Français du Tchad (IFT), les enseignantes chercheuses, le Dr Sabine Djimouko, présidente de l’Association des femmes enseignantes chercheurs du Tchad par ailleurs secrétaire général du CMT, le Dr Hamidé Abrass Rahma, directrice des études à l’Ecole normale supérieur de N’Djamena, la directrice générale adjointe du centre national de recherches et développement (CNRD), le Dr Nekoulnang Djetounako Clarisse secrétaire générale de femmes enseignantes et chercheurs, Mme Mbaïkoula Né Ndeïta Anne, formatrice à l’école normale des instituteurs bilingue (ENIB) de N’Djamena, Lisnic Agnès, proviseur du lycée montagne, Noudjilembaye Adèle, doctorante en science biologique à l’école doctorale de N’Djamena et l’ambassadeur de France au Tchad Bertrand Cochery, ont eu à échanger sur les défis et maintenant des filles à l’école primaire, secondaire et supérieure.
En ce qui concerne les défis à relever, les panelistes ont énuméré plusieurs aspects qui freinent le maintien de filles à l’école, à savoir les pesanteurs socioculturelles, le manque de suivi et maintien, la pauvreté, le chômage, les us et coutumes, les mauvaises orientations et le mariage précoce etc. S’agissant du maintien à l’école, elles ont souligné les manques de kilts scolaires, hygiéniques, la gratuité de l’école, les orientations, la cantine scolaire, les lycées et de collèges féminins, etc.
Abordant les défis et le maintien de filles à l’école, l’ambassadeur du France au Tchad, Bertrand Cochery déclare que l’Afrique en général, et le Tchad en particulier, souffrent de déficit dans le système éducatif. Pour lui, pour désenclaver le Tchad, il faut absolument passer par la scolarisation et le maintien des filles à l’école. Il affirme que l’ambassade de France au Tchad a inscrit dans son programme, le maintien des filles. Pour accorder une place à la femme tchadienne, il faut lever les verrous, dit Bertrand Cochery.
Les enseignantes chercheurs ont fait des recommandations au gouvernement et à l’ambassade de France, d’aider les partenaires de l’éducation à sensibiliser les parents sur l’importance de l’école, à mettre sur pied des conseillers d’éducation à tous les niveaux, rendre l’école gratuite, former des enseignantes chevronnés en pédagogie pour le maintien des filles à l’école, créer des internats pour les filles, impliquer les parents et mères des élèves, appuyer et doter les établissements supérieurs de matériels scientifiques et littéraires nécessaires, faire du ministère de l’Education nationale, une entité à part entière avec tous les moyens nécessaires et la réforme totale du système éducatif tchadien.
L’ambassadeur Bertrand Cochery promet de transmettre les doléances à qui de droit. Pour sa part, la secrétaire générale du gouvernement, le Dr Sabine Djimouko, de son côté dit avoir pris bonne note.
En ce qui concerne les défis à relever, les panelistes ont énuméré plusieurs aspects qui freinent le maintien de filles à l’école, à savoir les pesanteurs socioculturelles, le manque de suivi et maintien, la pauvreté, le chômage, les us et coutumes, les mauvaises orientations et le mariage précoce etc. S’agissant du maintien à l’école, elles ont souligné les manques de kilts scolaires, hygiéniques, la gratuité de l’école, les orientations, la cantine scolaire, les lycées et de collèges féminins, etc.
Abordant les défis et le maintien de filles à l’école, l’ambassadeur du France au Tchad, Bertrand Cochery déclare que l’Afrique en général, et le Tchad en particulier, souffrent de déficit dans le système éducatif. Pour lui, pour désenclaver le Tchad, il faut absolument passer par la scolarisation et le maintien des filles à l’école. Il affirme que l’ambassade de France au Tchad a inscrit dans son programme, le maintien des filles. Pour accorder une place à la femme tchadienne, il faut lever les verrous, dit Bertrand Cochery.
Les enseignantes chercheurs ont fait des recommandations au gouvernement et à l’ambassade de France, d’aider les partenaires de l’éducation à sensibiliser les parents sur l’importance de l’école, à mettre sur pied des conseillers d’éducation à tous les niveaux, rendre l’école gratuite, former des enseignantes chevronnés en pédagogie pour le maintien des filles à l’école, créer des internats pour les filles, impliquer les parents et mères des élèves, appuyer et doter les établissements supérieurs de matériels scientifiques et littéraires nécessaires, faire du ministère de l’Education nationale, une entité à part entière avec tous les moyens nécessaires et la réforme totale du système éducatif tchadien.
L’ambassadeur Bertrand Cochery promet de transmettre les doléances à qui de droit. Pour sa part, la secrétaire générale du gouvernement, le Dr Sabine Djimouko, de son côté dit avoir pris bonne note.