Dans un communiqué de presse rendu public ce 21 septembre 2021, et signé de son secrétaire général adjoint, Ibrahim Mahamat Ibrahim, la Convention Tchadienne de Défense des Droits de l'Homme CTDDH, se dit « profondément horrifiée par la tragédie qui vient de se dérouler le 19 septembre 2021 dans les villages de Kidji-Mira et de Tiyo dans la province du Ouaddai ». En effet, une fois de plus, 27 personnes y ont perdu la vie à cause d'un différend foncier.
« La CTDDH est d'autant plus indignée que cette tragédie aurait pu être évitée. Le laxisme et l'irresponsabilité des responsables administratifs et sécuritaires aura, une fois de plus, causé des pertes en vies humaines », peut-on lire. Dans cette regrettable situation, la CTDDH engage la responsabilité des autorités, tant au niveau central que local. Elle estime par ailleurs « que les nominations complaisantes des agents médiocres et sans formation aucune, dans l'administration locale, est à l'origine de ces gestions scabreuses aux conséquences dramatiques des affaires provinciales ».
Enfin, la Convention Tchadienne de Défense des Droits de l'Homme exige que les instigateurs de ces massacres soient arrêtés et punis, conformément à la loi.
« La CTDDH est d'autant plus indignée que cette tragédie aurait pu être évitée. Le laxisme et l'irresponsabilité des responsables administratifs et sécuritaires aura, une fois de plus, causé des pertes en vies humaines », peut-on lire. Dans cette regrettable situation, la CTDDH engage la responsabilité des autorités, tant au niveau central que local. Elle estime par ailleurs « que les nominations complaisantes des agents médiocres et sans formation aucune, dans l'administration locale, est à l'origine de ces gestions scabreuses aux conséquences dramatiques des affaires provinciales ».
Enfin, la Convention Tchadienne de Défense des Droits de l'Homme exige que les instigateurs de ces massacres soient arrêtés et punis, conformément à la loi.