Le MONCIT a rencontré les chefs des communautés afin de présenter ses condoléances suite aux évènements tragiques de Sandana. Il demande à ce que les auteurs de ces actes soient tous arrêtés et traduits en justice.
Le coordonnateur du MONCIT, Acyl Korom Dagache, indique que cette visite s'inscrit dans le cadre de la vulgarisation de la paix, la cohabitation pacifique, la cohésion sociale et le vivre ensemble. "Au-delà des divergences du peuple, le Tchad demeure un et indivisible", défend Acyl Korom Dagache.
Pour lui, tout acte de vandalisme qui compromet les efforts louables consentis par le président du Conseil militaire de transition, Mahamat Idriss Deby Itno, doit être proscrit.
Le chef de la communauté Sar-Madjingaye, Djimasbaye Nang-Wognan, a pour sa part relevé que des paisibles tchadiens, à Abéché dans le Ouaddaï comme à Sandana dans le Moyen-Chari, sont morts du fait des comportements des autres tchadiens.
Ces actes meurtriers suscitent l'indignation au sein de la société. "À Sandana, dans la sous-préfecture de Koumogo, suite à un accident mortel mal interprété par des personnes haineuses dans un esprit de rancune, 12 paisibles agriculteurs ont été tués par des éleveurs armés qui n'ont pas le droit d'en porter", déclare le chef de la communauté Sar-Madjingaye Djimasbaye Nang-Wognan.
"Cet acte s'est répété plusieurs fois. Les actes qui se sont perpétrés à Abéché, Sandana et dans d'autres contrées du Tchad sapent la volonté des tchadiens épris de paix et de justice qui s'engagent à construire l'unité nationale dans le travail pour le progrès du Tchad", déplore Djimasbaye Nang-wognan.
Le Mouvement citoyen Notre Tchad a été créé dans le contexte de la transition et œuvre inlassablement pour contribuer à assurer une transition apaisée et réussie.
Le coordonnateur du MONCIT, Acyl Korom Dagache, indique que cette visite s'inscrit dans le cadre de la vulgarisation de la paix, la cohabitation pacifique, la cohésion sociale et le vivre ensemble. "Au-delà des divergences du peuple, le Tchad demeure un et indivisible", défend Acyl Korom Dagache.
Pour lui, tout acte de vandalisme qui compromet les efforts louables consentis par le président du Conseil militaire de transition, Mahamat Idriss Deby Itno, doit être proscrit.
Le chef de la communauté Sar-Madjingaye, Djimasbaye Nang-Wognan, a pour sa part relevé que des paisibles tchadiens, à Abéché dans le Ouaddaï comme à Sandana dans le Moyen-Chari, sont morts du fait des comportements des autres tchadiens.
Ces actes meurtriers suscitent l'indignation au sein de la société. "À Sandana, dans la sous-préfecture de Koumogo, suite à un accident mortel mal interprété par des personnes haineuses dans un esprit de rancune, 12 paisibles agriculteurs ont été tués par des éleveurs armés qui n'ont pas le droit d'en porter", déclare le chef de la communauté Sar-Madjingaye Djimasbaye Nang-Wognan.
"Cet acte s'est répété plusieurs fois. Les actes qui se sont perpétrés à Abéché, Sandana et dans d'autres contrées du Tchad sapent la volonté des tchadiens épris de paix et de justice qui s'engagent à construire l'unité nationale dans le travail pour le progrès du Tchad", déplore Djimasbaye Nang-wognan.
Le Mouvement citoyen Notre Tchad a été créé dans le contexte de la transition et œuvre inlassablement pour contribuer à assurer une transition apaisée et réussie.