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Le Tchad organise du 3 au 4 avril, la 3ème session du groupe central des négociations entre 79 pays d'Afrique-Caraïbes-Pacifique et l’Union européenne, post-Cotonou. Dans une déclaration faite ce lundi, le ministre de l’Economie et de la planification du développement, Issa Doubragne, a relevé que les défis auxquels font face les Etats sont nombreux et complexes. "Ce qui nous impose de faire des bons choix, responsables, motivés et raisonnables. L'amélioration des conditions de vie de nos concitoyens en dépend complètement", selon lui.
"En choisissant le Tchad pour accueillir la première réunion du groupe central des négociations, notre organisation marque un cachet particulier à la ville de N'Djamena dont le nom va désormais entrer dans le partenariat post-Cotonou. Dans un peu plus d'une année, l'accord de Cotonou qui lie le partenariat entre 79 pays ACP et l'UE arrive à expiration. Il faut donc préparer l'après-Cotonou, en élaborant un document de partenariat cohérent qui comprend les exigences de l'heure", a précisé Issa Doubragne.
D'après lui, cette troisième réunion de négociations qui s'ouvre au Tchad contribuera "sans nul doute" pour les 20 prochaines années, et ce dès 2020, de jeter les bases et les engagements de la coopération multilatérale entre l'UE et 79 pays d'ACP. Il a estimé que "les arrangements en cours doivent poser les fondements qui stimulent les investissements, soutiennent les initiatives du secteur privé, favorisent l'intégration régionale pour contribuer à la création de plus d'emplois décents et de manière équitable".
Un séminaire sur le rôle et l'impact du partenariat
En prélude à cette rencontre, un séminaire d'information sur le rôle et l'impact du partenariat et coopération entre l'ACP et l'UE s'est tenu ce mardi 2 avril à N'Djamena. Les travaux ont été lancés par le ministre des Mines, du Développement industriel et Commercial, Ahmat Mahamat Bachir.
"Depuis près d'un demi-siècle, les conventions de l'ONU qui datent déjà de 1975-2000 puis l'accord de Cotonou de 2001 à 2020 à établit un partenariat étroit et exemplaire entre l'UE et le groupe des Etats de l'ACP", s'est félicité le ministre Ahmat Mahamat Bachir.
L'objectif de l'accord est de réduire et d'éradiquer la pauvreté, stimuler le développement durable et favoriser l'intégration durable progressive dans l'économie mondiale. La coopération est basée sur trois niveaux, à savoir le niveau national, régional et international.
"En choisissant le Tchad pour accueillir la première réunion du groupe central des négociations, notre organisation marque un cachet particulier à la ville de N'Djamena dont le nom va désormais entrer dans le partenariat post-Cotonou. Dans un peu plus d'une année, l'accord de Cotonou qui lie le partenariat entre 79 pays ACP et l'UE arrive à expiration. Il faut donc préparer l'après-Cotonou, en élaborant un document de partenariat cohérent qui comprend les exigences de l'heure", a précisé Issa Doubragne.
D'après lui, cette troisième réunion de négociations qui s'ouvre au Tchad contribuera "sans nul doute" pour les 20 prochaines années, et ce dès 2020, de jeter les bases et les engagements de la coopération multilatérale entre l'UE et 79 pays d'ACP. Il a estimé que "les arrangements en cours doivent poser les fondements qui stimulent les investissements, soutiennent les initiatives du secteur privé, favorisent l'intégration régionale pour contribuer à la création de plus d'emplois décents et de manière équitable".
Un séminaire sur le rôle et l'impact du partenariat
En prélude à cette rencontre, un séminaire d'information sur le rôle et l'impact du partenariat et coopération entre l'ACP et l'UE s'est tenu ce mardi 2 avril à N'Djamena. Les travaux ont été lancés par le ministre des Mines, du Développement industriel et Commercial, Ahmat Mahamat Bachir.
"Depuis près d'un demi-siècle, les conventions de l'ONU qui datent déjà de 1975-2000 puis l'accord de Cotonou de 2001 à 2020 à établit un partenariat étroit et exemplaire entre l'UE et le groupe des Etats de l'ACP", s'est félicité le ministre Ahmat Mahamat Bachir.
L'objectif de l'accord est de réduire et d'éradiquer la pauvreté, stimuler le développement durable et favoriser l'intégration durable progressive dans l'économie mondiale. La coopération est basée sur trois niveaux, à savoir le niveau national, régional et international.