Le Palais de justice de N'Djamena. © Djimet Wiche/Alwihda Info
Le procès sur le vaste trafic de drogues -démantelé au Tchad- reprendra lundi 20 juillet au Palais de justice de N'Djamena. Vendredi, les avocats se sont relayés jusqu'à la tombée de la nuit pour plaider en faveur de leurs clients.
Le collectif d'avocats a essayé de démontrer que "l'accusation est là mais qu'elle souffre gravement de la question de preuves", explique Maître Alain Kagonbé.
"C'est vrai, on a saisi une cargaison de tramadol. Là aussi, il faut préciser. Le tramadol ce n'est pas de la drogue à l'état pur, c'est un médicament parce que même la Loi n°22 relative au contrôle de drogues précise les substances et produits à haut risque, n'ayant aucun intérêt avec la médecine et ceux ayant un intérêt avec la médecine", indique l'avocat.
Selon lui, "le tramadol, c'est un produit qui a un intérêt avec la médecine. Parce que les gens parlent comme s'il s'agissait de la drogue à l'état pur tel que la cocaïne, le Hachich ou la Marijuana, mais il s'agit ici de produits pharmaceutiques."
Parmi les 11 personnes jugées dans cette affaire subdivisée en trois dossiers, il y a plusieurs chefs d'accusation : trafic de tramadol, complicité, faux et usage de faux, blanchiment d'argent ou encore tentative de corruption.
Le collectif d'avocats a essayé de démontrer que "l'accusation est là mais qu'elle souffre gravement de la question de preuves", explique Maître Alain Kagonbé.
"C'est vrai, on a saisi une cargaison de tramadol. Là aussi, il faut préciser. Le tramadol ce n'est pas de la drogue à l'état pur, c'est un médicament parce que même la Loi n°22 relative au contrôle de drogues précise les substances et produits à haut risque, n'ayant aucun intérêt avec la médecine et ceux ayant un intérêt avec la médecine", indique l'avocat.
Selon lui, "le tramadol, c'est un produit qui a un intérêt avec la médecine. Parce que les gens parlent comme s'il s'agissait de la drogue à l'état pur tel que la cocaïne, le Hachich ou la Marijuana, mais il s'agit ici de produits pharmaceutiques."
Parmi les 11 personnes jugées dans cette affaire subdivisée en trois dossiers, il y a plusieurs chefs d'accusation : trafic de tramadol, complicité, faux et usage de faux, blanchiment d'argent ou encore tentative de corruption.