La CBLT a lancé depuis ce lundi 1er avril, une campagne de consultation et de sensibilisation dans le cadre de la dissémination de la stratégie régionale de stabilisation des zones du bassin du Lac Tchad touchées par Boko Haram.
Les responsables de l'organisation sous-régionale se sont rendus dans plusieurs départements ministériels concernés par la mise en oeuvre du projet afin de s'entretenir avec leurs équipes sur les tenants et les aboutissants de la stratégie. Il s'agit des ministères de l'Environnement, de la Production, de la Défense nationale, de l'Economie, de la Justice et de la Femme.
Le secrétaire exécutif de la commission du bassin du Lac Tchad, Mamann Nuhu et les partenaires se sont fixés pour objectif de vulgariser la stratégie de résilience. D'après Mamann Nuhu, "il s'agit d'une tâche qui nécessite la mobilisation et l'engagement de tous les acteurs concernés autour de cette approche intégrative et fédératrice, une coopération politique et une collaboration plus étroite, non seulement entre les Etats membres affectés mais également au sein même des Etats pour assurer une mise en oeuvre rapide. Tout en poursuivant les efforts militaires pour venir à bout de l'insécurité, il importe d'apporter une solution durable, notamment de porter une attention appuyée aux ONG humanitaire de protection des populations et de développement durable".
La stratégie est appuyée par le Programme des Nations Unies pour le développement et l'Union Africaine.
"Nous sommes vraiment engagés intégralement dans cette stratégie. Nous sommes convaincus que nous allons venir à bout de ce phénomène de Boko Haram et aussi saisir cette occasion pour développer cette région", a affirmé Sidick Abdelkérim Haggar, ministre de l'Environnement.
De l'avis de la ministre de la Production et des équipements agricoles, Lydie Beassemda, ce projet vient à point nommé car "à l'heure actuelle, dans le cadre de la relance de l'économie du Tchad, le ministère de l'Agriculture accorde une importance particulière à ce document qui a fait l'objet d'un processus assez participatif."
Pour sa part, le ministère délégué à la Présidence, chargé de la défense nationale, Daoud Yaya Brahim a précisé que "cette mission offre l'opportunité d'interaction avec les partenaires en vue de chercher des réponses adéquates et rapides aux affres auxquelles sont soumis les paisibles citoyens".
Ce mardi, une mission de la CBLT a échangé avec le personnel du ministère de l'Economie et de la Planification du développement. "Nous prenons l'engagement d'apporter tout notre soutien à la mise en oeuvre de cette stratégie importante et notre coordination en charge du suivi et de l'évaluation des programmes et projets sera aux côtés de tout les acteurs impliqués dans la mise en oeuvre, le suivi et l'évaluation de cette stratégie sur le terrain", a déclaré Houle Djonkamla, directeur général du ministère de l'Economie.
A chaque étape de son déplacement, l'équipe de la CBLT s'est attelée sur les axes de la stratégie en lien avec le département ministériel.
"Une réponse sûre, efficace et durable de cette lutte implique la prise en compte des différentes causes ayant conduit à cette situation. Nous demeurons tous convaincus qu'une réplique sécuritaire forte à elle-seule sera loin de résoudre ce phénomène qui nécessite forcément des efforts de développement", a souligné le ministre de la Justice, chargé des droits humains, Djimet Arabi.
Pour sa part, la ministre de la Femme, Dr. Djalal Ardjoun Khalil a assuré de la disponibilité de son personnel technique et administratif afin de permettre la réussite du déploiement de la stratégie régionale de la CBLT. "L'implication de la femme dans le processus de gestion des crises et de restauration de la sécurité n'est pas à démontrer de nos jours, et particulièrement, la sécurité sociale pour la femme, mère de la famille, joue un rôle très important dans sa petite famille mais aussi dans l'acquisition de la paix et de la sécurité au niveau de sa communauté", a-t-elle relevé.
La mise en oeuvre du processus sera étalé sur une période de cinq ans.
Les responsables de l'organisation sous-régionale se sont rendus dans plusieurs départements ministériels concernés par la mise en oeuvre du projet afin de s'entretenir avec leurs équipes sur les tenants et les aboutissants de la stratégie. Il s'agit des ministères de l'Environnement, de la Production, de la Défense nationale, de l'Economie, de la Justice et de la Femme.
Le secrétaire exécutif de la commission du bassin du Lac Tchad, Mamann Nuhu et les partenaires se sont fixés pour objectif de vulgariser la stratégie de résilience. D'après Mamann Nuhu, "il s'agit d'une tâche qui nécessite la mobilisation et l'engagement de tous les acteurs concernés autour de cette approche intégrative et fédératrice, une coopération politique et une collaboration plus étroite, non seulement entre les Etats membres affectés mais également au sein même des Etats pour assurer une mise en oeuvre rapide. Tout en poursuivant les efforts militaires pour venir à bout de l'insécurité, il importe d'apporter une solution durable, notamment de porter une attention appuyée aux ONG humanitaire de protection des populations et de développement durable".
La stratégie est appuyée par le Programme des Nations Unies pour le développement et l'Union Africaine.
"Nous sommes vraiment engagés intégralement dans cette stratégie. Nous sommes convaincus que nous allons venir à bout de ce phénomène de Boko Haram et aussi saisir cette occasion pour développer cette région", a affirmé Sidick Abdelkérim Haggar, ministre de l'Environnement.
De l'avis de la ministre de la Production et des équipements agricoles, Lydie Beassemda, ce projet vient à point nommé car "à l'heure actuelle, dans le cadre de la relance de l'économie du Tchad, le ministère de l'Agriculture accorde une importance particulière à ce document qui a fait l'objet d'un processus assez participatif."
Pour sa part, le ministère délégué à la Présidence, chargé de la défense nationale, Daoud Yaya Brahim a précisé que "cette mission offre l'opportunité d'interaction avec les partenaires en vue de chercher des réponses adéquates et rapides aux affres auxquelles sont soumis les paisibles citoyens".
Ce mardi, une mission de la CBLT a échangé avec le personnel du ministère de l'Economie et de la Planification du développement. "Nous prenons l'engagement d'apporter tout notre soutien à la mise en oeuvre de cette stratégie importante et notre coordination en charge du suivi et de l'évaluation des programmes et projets sera aux côtés de tout les acteurs impliqués dans la mise en oeuvre, le suivi et l'évaluation de cette stratégie sur le terrain", a déclaré Houle Djonkamla, directeur général du ministère de l'Economie.
A chaque étape de son déplacement, l'équipe de la CBLT s'est attelée sur les axes de la stratégie en lien avec le département ministériel.
"Une réponse sûre, efficace et durable de cette lutte implique la prise en compte des différentes causes ayant conduit à cette situation. Nous demeurons tous convaincus qu'une réplique sécuritaire forte à elle-seule sera loin de résoudre ce phénomène qui nécessite forcément des efforts de développement", a souligné le ministre de la Justice, chargé des droits humains, Djimet Arabi.
Pour sa part, la ministre de la Femme, Dr. Djalal Ardjoun Khalil a assuré de la disponibilité de son personnel technique et administratif afin de permettre la réussite du déploiement de la stratégie régionale de la CBLT. "L'implication de la femme dans le processus de gestion des crises et de restauration de la sécurité n'est pas à démontrer de nos jours, et particulièrement, la sécurité sociale pour la femme, mère de la famille, joue un rôle très important dans sa petite famille mais aussi dans l'acquisition de la paix et de la sécurité au niveau de sa communauté", a-t-elle relevé.
La mise en oeuvre du processus sera étalé sur une période de cinq ans.