Des militaires camerounais au nord du pays. © REINNIER KAZE / AFP
Les informations d’une atrocité inouïe faisant état de mutilation des oreilles des femmes, images des victimes à l’appui, rapportées par l’hebdomadaire l’Œil du Sahel et publiées sur le site d’Al Wihda (« Cameroun : Boko Haram coupe les oreilles des femmes au Nord ») montrent une fois de plus la nécessité de combattre à tout prix et vite les sectes terroristes en général et la secte Boko Haram en particulier.
Que peut-on reprocher à ces adorables mamans si ce n’est la perpétuation de la race humaine dont sont issus ces barbares eux-mêmes mais en haïssent autant !?
Qu’attendons-nous, peuples et gouvernements du monde entier, l’ONU et que sais-je encore ; si ce n’est pour voir pire ; peut-il y avoir plus pire ? Une barbarie d’une telle cruauté aux yeux du monde entier, en plus des horreurs qui sont monnaie courante (égorger des humains, les bruler vifs, etc.)! Quelles atrocités !
Que reste-t-il à l’humanité de sa dignité, de son honneur ? Ce n’est plus l’affaire d’une communauté, ni d’un peuple ou d’un pays. C’est un défi contre l’humanité toute entière. Levons-nous, tous comme un seul Homme, pour déclarer la guerre mondiale, la vraie, à l’image des deux guerres, à ces monstres qui défient l’humanité en perpétrant l’horreur absolue à des innocents sans défense :
- Aux pays qui ont sur leur sol cette secte de « renoncer » s’il le faut à leur souveraineté sur les terres infestées pour permettre aux armées du monde entier de déferler tel un débarquement en Normandie ;
- Aux autres pays du monde entier de participer militairement et sous l’égide de l’ONU comme en temps de guerre mondiale, au maximum de leur capacité militaire ;
- Aux populations victimes directes de la secte de fournir tous les renseignements en leur possession permettant de délimiter les « tanières » de ces monstres.
Ainsi les forces militaires procèderont à la fouille systématique, parcelle après parcelle, jungle après jungle (fut-ce la fameuse jungle de sambisa) et….montagne après montagne pour débusquer, neutraliser et éradiquer une fois pour toute et pour toujours ces monstres à silhouette humaine.
L’humanité doit se dire trop c’est trop ! Une telle monstruosité ne pourrait être tolérée au XXIème siècle. Jamais !
A. YAYA .
Que peut-on reprocher à ces adorables mamans si ce n’est la perpétuation de la race humaine dont sont issus ces barbares eux-mêmes mais en haïssent autant !?
Qu’attendons-nous, peuples et gouvernements du monde entier, l’ONU et que sais-je encore ; si ce n’est pour voir pire ; peut-il y avoir plus pire ? Une barbarie d’une telle cruauté aux yeux du monde entier, en plus des horreurs qui sont monnaie courante (égorger des humains, les bruler vifs, etc.)! Quelles atrocités !
Que reste-t-il à l’humanité de sa dignité, de son honneur ? Ce n’est plus l’affaire d’une communauté, ni d’un peuple ou d’un pays. C’est un défi contre l’humanité toute entière. Levons-nous, tous comme un seul Homme, pour déclarer la guerre mondiale, la vraie, à l’image des deux guerres, à ces monstres qui défient l’humanité en perpétrant l’horreur absolue à des innocents sans défense :
- Aux pays qui ont sur leur sol cette secte de « renoncer » s’il le faut à leur souveraineté sur les terres infestées pour permettre aux armées du monde entier de déferler tel un débarquement en Normandie ;
- Aux autres pays du monde entier de participer militairement et sous l’égide de l’ONU comme en temps de guerre mondiale, au maximum de leur capacité militaire ;
- Aux populations victimes directes de la secte de fournir tous les renseignements en leur possession permettant de délimiter les « tanières » de ces monstres.
Ainsi les forces militaires procèderont à la fouille systématique, parcelle après parcelle, jungle après jungle (fut-ce la fameuse jungle de sambisa) et….montagne après montagne pour débusquer, neutraliser et éradiquer une fois pour toute et pour toujours ces monstres à silhouette humaine.
L’humanité doit se dire trop c’est trop ! Une telle monstruosité ne pourrait être tolérée au XXIème siècle. Jamais !
A. YAYA .