Structures flottantes, passerelles-cafés et quais sur les berges du fleuve Alima, telle est l'image que présentent désormais les bordures de la rive gauche de ce fleuve qui ont subi une urbanisation d'ampleur inédite. La construction du port d'Oyo a eu le mérite particulier de permettre à la ville d’Oyo de se tourner vers son fleuve. Mais, pas seulement.
En effet, selon la fiche technique de cette infrastructure portuaire sa modernité est caractérisée par son bâtiment R+1 qui est composée d’une gare à passagers, une cafétéria, des bureaux, d’un guichet, des blocs sanitaires et d’une salle de réunion. Les aires de stockage, la protection des berges, avec la construction des digues réalisées en tout-venants et protégées en amont par un géotextile et en l’aval par un matelas RENO (gabion d’épaisseur 17cm) adaptent cette infrastructure à l’ère du temps.
Le port dispose, en outre de deux quais et d’un entrepôt en structure métallique, d’un bâtiment administratif, deux logements pour VIP, trois logements pour cadres, un restaurant et des toilettes publiques. Ces édifices auxquels s’ajoutent un local pour station de pompage à incendie, un local pour poste de transformateur, deux postes de garde et une station de pompage avec une bâche à eau de 200m3 sont bâtis sur une superficie de 7250 m².
Afin de rendre performant son fonctionnement, le port d’Oyo est également, doté d’une grue sur rails de 60 tonnes et d’une grue mobile de 60 tonnes, ainsi que d’un engin pour manutention de conteneurs 40 pieds. Un chariot élévateur de 20 tonnes, une vedette de sécurité 400 cv, constituent aussi le patrimoine de cette plate-forme portuaire sans oublier un véhicule pour la sécurité incendie et une radiophonie. Environ 18 500 m² de jardins ont été aménagés dans le dessein d’insérer aux mieux les nouvelles constructions dans leur environnement naturel.
Outre les travaux précités, Un nouveau quai de 80 ml et le renforcement du quai existant ont été réalisés à Tchikapika. A cela s’ajoute l’aménagement et le bitumage des voies d’accès et des voiries intérieures au port.
La vue qu’offre actuellement le port d’Oyo renforce l’attractivité et le rayonnement de cette localité. Les travaux réalisés par l’entreprise chinoise CRBC ont coûté la bagatelle de 48 milliards de FCFA, financés à 20% par l’Etat Congolais et 80% par un accord cadre sur l’arrangement spécial entre la République du Congo et la République Populaire de Chine.
En effet, selon la fiche technique de cette infrastructure portuaire sa modernité est caractérisée par son bâtiment R+1 qui est composée d’une gare à passagers, une cafétéria, des bureaux, d’un guichet, des blocs sanitaires et d’une salle de réunion. Les aires de stockage, la protection des berges, avec la construction des digues réalisées en tout-venants et protégées en amont par un géotextile et en l’aval par un matelas RENO (gabion d’épaisseur 17cm) adaptent cette infrastructure à l’ère du temps.
Le port dispose, en outre de deux quais et d’un entrepôt en structure métallique, d’un bâtiment administratif, deux logements pour VIP, trois logements pour cadres, un restaurant et des toilettes publiques. Ces édifices auxquels s’ajoutent un local pour station de pompage à incendie, un local pour poste de transformateur, deux postes de garde et une station de pompage avec une bâche à eau de 200m3 sont bâtis sur une superficie de 7250 m².
Afin de rendre performant son fonctionnement, le port d’Oyo est également, doté d’une grue sur rails de 60 tonnes et d’une grue mobile de 60 tonnes, ainsi que d’un engin pour manutention de conteneurs 40 pieds. Un chariot élévateur de 20 tonnes, une vedette de sécurité 400 cv, constituent aussi le patrimoine de cette plate-forme portuaire sans oublier un véhicule pour la sécurité incendie et une radiophonie. Environ 18 500 m² de jardins ont été aménagés dans le dessein d’insérer aux mieux les nouvelles constructions dans leur environnement naturel.
Outre les travaux précités, Un nouveau quai de 80 ml et le renforcement du quai existant ont été réalisés à Tchikapika. A cela s’ajoute l’aménagement et le bitumage des voies d’accès et des voiries intérieures au port.
La vue qu’offre actuellement le port d’Oyo renforce l’attractivité et le rayonnement de cette localité. Les travaux réalisés par l’entreprise chinoise CRBC ont coûté la bagatelle de 48 milliards de FCFA, financés à 20% par l’Etat Congolais et 80% par un accord cadre sur l’arrangement spécial entre la République du Congo et la République Populaire de Chine.