Theo Francken, Secrétaire d’État belge à l’Asile et la Migration, n'a rien trouvé de mieux, dans une interview publiée, le 07 octobre 2017, par les quotidiens belges "La libre Belgique" et "La dernière heure", que de faire parler de lui en établissant un parallèle totalement absurde entre le Maroc et d'autres pays où les Droits de l'Homme ne sont pas respectés.
En effet, Theo Francken a fait une sortie tonitruante en tenant des propos anti-marocains au sujet du respect des Droits de l'Homme au Maroc, qui sont bien meilleurs que ceux dans sa Flandre natale.
Ce défenseur du nationalisme flamand passe le plus clair de son temps à militer pour " le rapatriement et la fermeture des centres", dès qu'il s'agit d'immigration. Déjà, en 2011, comme le révèle son compte Facebook, il s'en prenait aux immigrés marocains, accusés de "n'apporter aucune valeur ajoutée à la Belgique" ou, encore mieux, comme en témoigne son email du 02 mai 2007 dans lequel il traitait les Marocains de "petits cons".
Aujourd'hui, Francken tente de justifier l'augmentation des actes d'agression dans son pays par la forte communauté marocaine qui vit dans la capitale belge. "Cela n’a rien à voir avec nous, mais avec le nombre élevé d’islamistes et de petits cons marocains. Tous les musulmans en dehors de Bruxelles ? Ce serait amusant",a t'il affirmé.
Cette nouvelle sortie xénophobe et raciste a valu au dénommé Theo Francken" une volée de bois vert de la part de la société civile belge, qui l'accuse de ne pas s'attaquer aux problème de fond.
De son côté, la réaction du Maroc ne s'est pas faite attendre suite aux déclarations hasardeuses, provocatrices et intempestives de Francken, membre du Gouvernement belge, Gouvernement qui entretient des relations très étroites et des liens d’amitié forts et de haut niveau avec celui du Maroc.
Ainsi, une mise au point adressée au Ministère belge des Affaires Etrangères stipule que les déclarations de Francken témoignent "d’une méconnaissance avérée des mécanismes de coopération et de dialogue permanent entre les deux pays sur tous les sujets". Des déclarations "politiquement inacceptables et totalement inappropriées".
Par ailleurs, et toujours selon la mise au point marocaine, il a été rappelé les multiples étapes franchies par le Maroc dans la consolidation de l’Etat de Droit et le respect des Droits de l’Homme qui ne sont plus à démontrer et sont aujourd’hui reconnues et saluées au niveau de toutes les instances, par le Royaume de Belgique, l’Union Européenne et l’ensemble de la communauté internationale.
Le Maroc, indigné par la bavure raciste du Secrétaire d'Etat belge à la Migration, a répondu de manière forte à Francken, le renvoyant à ses chères études pour apprendre le respect mutuel et la réserve que doit observer un Ministre en fonction.
Theo Francken a très certainement oublié que le Royaume des Belges a été libéré du joug du nazisme par, entre autres, des soldats marocains, et, par ailleurs, totalement reconstruit par les mains des travailleurs marocains.
Aujourd'hui encore, et dotés de leur double nationalité, ces Marocains sont visibles sur les chantiers, dans les hôpitaux, dans l'administration, dans les écoles, les lycées, les universités, les transports en commun, la restauration, les cafés, l'armée, la police, les professions libérales et en politique. Un simple départ de ces Marocains du plat pays, et la Belgique s'étiole. N'est-ce pas ce que recherche le Flamand Theo Francken pour booster l'extrême-droite belge au maximum afin d'asseoir le pouvoir de son parti ?
En effet, Theo Francken a fait une sortie tonitruante en tenant des propos anti-marocains au sujet du respect des Droits de l'Homme au Maroc, qui sont bien meilleurs que ceux dans sa Flandre natale.
Ce défenseur du nationalisme flamand passe le plus clair de son temps à militer pour " le rapatriement et la fermeture des centres", dès qu'il s'agit d'immigration. Déjà, en 2011, comme le révèle son compte Facebook, il s'en prenait aux immigrés marocains, accusés de "n'apporter aucune valeur ajoutée à la Belgique" ou, encore mieux, comme en témoigne son email du 02 mai 2007 dans lequel il traitait les Marocains de "petits cons".
Aujourd'hui, Francken tente de justifier l'augmentation des actes d'agression dans son pays par la forte communauté marocaine qui vit dans la capitale belge. "Cela n’a rien à voir avec nous, mais avec le nombre élevé d’islamistes et de petits cons marocains. Tous les musulmans en dehors de Bruxelles ? Ce serait amusant",a t'il affirmé.
Cette nouvelle sortie xénophobe et raciste a valu au dénommé Theo Francken" une volée de bois vert de la part de la société civile belge, qui l'accuse de ne pas s'attaquer aux problème de fond.
De son côté, la réaction du Maroc ne s'est pas faite attendre suite aux déclarations hasardeuses, provocatrices et intempestives de Francken, membre du Gouvernement belge, Gouvernement qui entretient des relations très étroites et des liens d’amitié forts et de haut niveau avec celui du Maroc.
Ainsi, une mise au point adressée au Ministère belge des Affaires Etrangères stipule que les déclarations de Francken témoignent "d’une méconnaissance avérée des mécanismes de coopération et de dialogue permanent entre les deux pays sur tous les sujets". Des déclarations "politiquement inacceptables et totalement inappropriées".
Par ailleurs, et toujours selon la mise au point marocaine, il a été rappelé les multiples étapes franchies par le Maroc dans la consolidation de l’Etat de Droit et le respect des Droits de l’Homme qui ne sont plus à démontrer et sont aujourd’hui reconnues et saluées au niveau de toutes les instances, par le Royaume de Belgique, l’Union Européenne et l’ensemble de la communauté internationale.
Le Maroc, indigné par la bavure raciste du Secrétaire d'Etat belge à la Migration, a répondu de manière forte à Francken, le renvoyant à ses chères études pour apprendre le respect mutuel et la réserve que doit observer un Ministre en fonction.
Theo Francken a très certainement oublié que le Royaume des Belges a été libéré du joug du nazisme par, entre autres, des soldats marocains, et, par ailleurs, totalement reconstruit par les mains des travailleurs marocains.
Aujourd'hui encore, et dotés de leur double nationalité, ces Marocains sont visibles sur les chantiers, dans les hôpitaux, dans l'administration, dans les écoles, les lycées, les universités, les transports en commun, la restauration, les cafés, l'armée, la police, les professions libérales et en politique. Un simple départ de ces Marocains du plat pays, et la Belgique s'étiole. N'est-ce pas ce que recherche le Flamand Theo Francken pour booster l'extrême-droite belge au maximum afin d'asseoir le pouvoir de son parti ?