Faraj Elourfi, un avocat de 53 ans, souligne qu'il y avait des projets d'envoyer de jeunes Libyens en Europe pour y suivre une formation intensive à la sécurité.
"L'objectif de cette mesure est de les réintégrer pour travailler comme soldats professionnels dans les forces armées libyennes et aider à bâtir le nouvelle Libye", ajoute-t-il.
« Le sud du pays, qui est presque occupé par le Tchad aujourd'hui »
"Certains jeunes reçoivent actuellement une formation en Turquie et au Soudan, dans le cadre d'une tentative du ministère de la Défense de renforcer l'armée libyenne, de mettre un terme au chaos sécuritaire et à l'immigration clandestine qui est aujourd'hui incontrôlée, en particulier dans le sud du pays, qui est presque occupé par le Tchad aujourd'hui", ajoute-t-il.