Il s’est tenu à l’ENAM du 13 au 14 décembre dernier un atelier de formation sur le droit OHADA pour les milieux des affaires cette formation a eu lieu grâce à la chambre de commerce en collaboration avec le centre de commerce international (CCI), l’Organisation pour l’Harmonisation en Afrique des Droits des Affaires (OHADA) et la Communauté Economique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC).
Cette formation a pour la première fois eu lieu au Tchad et elle vise à faire comprendre l’usage du droit applicable à l’activité commerciale du commerçant.
Le juge et le justiciable doivent connaitre le droit des affaires commerciales. L’atelier a accouché des idées claires sur les affaires.
C’était une formation qui a marqué le lancement du guide juridique OHADA et en même temps sur le droit en l’endroit des opérateurs économiques. Elle a permis aux bénéficiaires de se familiariser avec la législation de ladite organisation qui couvre dix sept pays dont notre pays.
II a été au cours de cette rencontre informé qu’il est très plus aisé de créer une entreprise l’exercer dans l’espace OHADA.
Ceci pour distinguer par le passé récent où l’opérateur économique se heurtait aux législations propres à chaque Etat.
Ouvrant les travaux le président de la Chambre de Commerce, M. Souradj Koulamallah a précise qu’avec le droit des affaires bien harmonisé, les pays membres de l’OHADA ont doté les acteurs économiques d’un outil indispensable pour la promotion dudit secteur.
De son avis, le droit OHADA est le catalyseur du repositionnement et du reclassement dans nos pays le doing-business ainsi que de l’amélioration de la pratique des affaires et des investissements.
Elysée N.