Les Congolais sont appelés à faire vacciner leurs enfants dans des centres de santé les plus proches de leurs habitations, en vue de les protéger contre la rougeole et la rubéole. La campagne nationale de vaccination contre ces deux maladies invalidantes qui a été lancée vise à réduire la mortalité et la morbidité dues à la rougeole chez les enfants et à éliminer les risques de malformation et de mort du fœtus et de fausses couches du fait de la rubéole.
Selon la directrice exécutive adjointe de l’alliance du vaccin (Gavi), le Congo a fait un grand pas. Elle a salué « le leadership » du gouvernement et du président de la République, Denis Sassou N’Guesso. Gavi est aux côtés des autorités congolaises pour protéger tous les enfants de ce pays des maladies mortelles et évitables par la vaccination, a-t-elle rassuré.
Cette campagne de vaccination combine les interventions à haut-impact, à savoir la vaccination, le complément nutritionnel en vitamine A et le déparasitage. Ce qui a fait dire à la représentante de l’Unicef au Congo que cette combinaison constitue une possibilité pour le Congo « d’éliminer la rougeole et la rubéole grâce à la vaccination ». Elle a également assuré le gouvernement congolais du soutien continu de son institution pour ses efforts soutenus en matière de santé publique.
Intervenant à son tour, la directrice régionale de l’OMS-Afrique a appelé à un engagement en faveur de l’enfant qui, a-t-elle dit, est « l’assurance du futur ». Le Dr Moeti Matshidiso a noté avec satisfaction qu’« avec ce nouveau vaccin, les enfants du Congo, nos enfants, seront désormais protégés, non seulement, contre la rougeole, mais aussi contre 12 maladies mortelles ».
Pendant cinq jours, plus de 2000 équipes de vaccination en stratégies fixe, avancée et mobile, soit près de 8000 acteurs seront mobilisées. Le gouvernement congolais, par l’entremise de la ministre de la santé et de la population, Jacqueline Lydia Mikolo a appelé ces équipes à plus d’abnégation au travail pour atteindre l’objectif de 100% d’enfants vaccinés, assigné à cette campagne.
Elle a sollicité l’implication directe des pouvoirs publiques et des confessions religieuses, avant d’encourager les parents, surtout les mères d’enfants « à adhérer massivement aux activités qui seront déployées », en se rendant dans les centres de santé les plus proches.
Lydia Mikolo a fait observer que sur le plan épidémiologique, le Congo, à l’instar des autres pays en Afrique subsaharienne, fait face à une recrudescence de la rougeole, avec des couvertures vaccinales qui restent inférieures à 90%. Pour faire face à cette situation, le Congo a élaboré en 2014 un plan stratégique d’élimination de la rougeole. Ce plan intègre l’introduction de la deuxième dose sous forme de vaccin combiné rougeole-rubéole autrement RR. Les bénéficiaires, par le truchement d’un enfant, ont vivement remercié le président Denis Sassou N'Guesso pour son engagement en faveur de la santé des enfants.
Selon la directrice exécutive adjointe de l’alliance du vaccin (Gavi), le Congo a fait un grand pas. Elle a salué « le leadership » du gouvernement et du président de la République, Denis Sassou N’Guesso. Gavi est aux côtés des autorités congolaises pour protéger tous les enfants de ce pays des maladies mortelles et évitables par la vaccination, a-t-elle rassuré.
Cette campagne de vaccination combine les interventions à haut-impact, à savoir la vaccination, le complément nutritionnel en vitamine A et le déparasitage. Ce qui a fait dire à la représentante de l’Unicef au Congo que cette combinaison constitue une possibilité pour le Congo « d’éliminer la rougeole et la rubéole grâce à la vaccination ». Elle a également assuré le gouvernement congolais du soutien continu de son institution pour ses efforts soutenus en matière de santé publique.
Intervenant à son tour, la directrice régionale de l’OMS-Afrique a appelé à un engagement en faveur de l’enfant qui, a-t-elle dit, est « l’assurance du futur ». Le Dr Moeti Matshidiso a noté avec satisfaction qu’« avec ce nouveau vaccin, les enfants du Congo, nos enfants, seront désormais protégés, non seulement, contre la rougeole, mais aussi contre 12 maladies mortelles ».
Pendant cinq jours, plus de 2000 équipes de vaccination en stratégies fixe, avancée et mobile, soit près de 8000 acteurs seront mobilisées. Le gouvernement congolais, par l’entremise de la ministre de la santé et de la population, Jacqueline Lydia Mikolo a appelé ces équipes à plus d’abnégation au travail pour atteindre l’objectif de 100% d’enfants vaccinés, assigné à cette campagne.
Elle a sollicité l’implication directe des pouvoirs publiques et des confessions religieuses, avant d’encourager les parents, surtout les mères d’enfants « à adhérer massivement aux activités qui seront déployées », en se rendant dans les centres de santé les plus proches.
Lydia Mikolo a fait observer que sur le plan épidémiologique, le Congo, à l’instar des autres pays en Afrique subsaharienne, fait face à une recrudescence de la rougeole, avec des couvertures vaccinales qui restent inférieures à 90%. Pour faire face à cette situation, le Congo a élaboré en 2014 un plan stratégique d’élimination de la rougeole. Ce plan intègre l’introduction de la deuxième dose sous forme de vaccin combiné rougeole-rubéole autrement RR. Les bénéficiaires, par le truchement d’un enfant, ont vivement remercié le président Denis Sassou N'Guesso pour son engagement en faveur de la santé des enfants.