Pour Choguel Maïga, la CEDEAO n'a pas réussi à faire tomber le gouvernement à court terme avec ses sanctions, ce qui va ramener l'organisation sous-régionale à la table des discussions.
S’agissant de la présence de la milice paramilitaire Wagner, le chef du gouvernement malien dément. « Nous travaillons avec des coopérants russes dans le cadre d’un accord de coopération. (…) Nous travaillons avec l’État russe (…) Le mot Wagner c’est les français qui le disent (…) Personne ne va nous entrainer dans un combat qui n’est pas le notre, nous on chercher à sécuriser notre population », dit-il.
« Nous allons nous en sortir. Nous avons pris toutes les dispositions. Déjà, il y a des résultats sur le terrain », assure-t-il, évoquant notamment le retour des populations dans de nombreux villages. De l’avis de Choguel Maïga, « on a inoculé chez les africains le virus de la défaite, ce qui fait que certains pensent que le départ de la France va faire sombrer le Mali ».
S’agissant de la présence de la milice paramilitaire Wagner, le chef du gouvernement malien dément. « Nous travaillons avec des coopérants russes dans le cadre d’un accord de coopération. (…) Nous travaillons avec l’État russe (…) Le mot Wagner c’est les français qui le disent (…) Personne ne va nous entrainer dans un combat qui n’est pas le notre, nous on chercher à sécuriser notre population », dit-il.
« Nous allons nous en sortir. Nous avons pris toutes les dispositions. Déjà, il y a des résultats sur le terrain », assure-t-il, évoquant notamment le retour des populations dans de nombreux villages. De l’avis de Choguel Maïga, « on a inoculé chez les africains le virus de la défaite, ce qui fait que certains pensent que le départ de la France va faire sombrer le Mali ».