A New-York, Idriss Déby détaille ses projets pour le Tchad. © PR
Le président de la République Idriss Déby s’est exprimé ce lundi au cours du sommet action climat des Nations Unies. Il a affirmé que le Tchad s’engage à produire 200 Gigawatt-heure par an de l’énergie solaire et 50 Gigawatt-heure par an de l’énergie éolienne. De même, il a précisé qu'est envisagé la construction d’une ligne nationale de 225 kilovolt pour interconnecter toutes les villes.
Le président tchadien a rappelé que « l’Afrique en général, et le Tchad en particulier, ne contribuant presque pas ou très faiblement aux émissions, je voudrais souligner l’intérêt que nous portons à la question de la résilience. »
Il a indiqué qu’au Tchad, les principales conséquences du changement climatique sont, entre autres, la baisse et variabilité pluviométrique, les sècheresses, la baisse des productions agricoles, l’assèchement et le rétrécissement des cours d’eau comme le Lac Tchad, les inondations, les vagues de chaleur, les vents violents, l’avancée inquiétante du désert, la famine et l’exode rural, faisant le lit de la menace terroriste.
Le dirigeant tchadien a estimé que « un effort tout particulier est nécessaire de la part des pays développés pour faciliter l’accès aux énergies renouvelables en les rendant moins chères que les combustibles fossiles. »
Le président tchadien a rappelé que « l’Afrique en général, et le Tchad en particulier, ne contribuant presque pas ou très faiblement aux émissions, je voudrais souligner l’intérêt que nous portons à la question de la résilience. »
Il a indiqué qu’au Tchad, les principales conséquences du changement climatique sont, entre autres, la baisse et variabilité pluviométrique, les sècheresses, la baisse des productions agricoles, l’assèchement et le rétrécissement des cours d’eau comme le Lac Tchad, les inondations, les vagues de chaleur, les vents violents, l’avancée inquiétante du désert, la famine et l’exode rural, faisant le lit de la menace terroriste.
Le dirigeant tchadien a estimé que « un effort tout particulier est nécessaire de la part des pays développés pour faciliter l’accès aux énergies renouvelables en les rendant moins chères que les combustibles fossiles. »