Des ouvriers dans une centrale électrique à Takoradi, au Ghana (archives). Photo Jonathan Erns/Banque mondiale © Banque mondiale/Jonathan Ernst
Le rapport indique que cela représente plus du double du total enregistré en 2020, alors que la pandémie de Covid-19 a pesé lourdement sur les flux d'investissement vers le continent.
Malgré cette forte croissance, les flux d'investissement vers l'Afrique n'ont représenté que 5,2% des IDE mondiaux, contre 4,1% en 2020.
La plupart des pays d'Afrique ont connu une hausse modérée des IDE en 2021. En effet, il est à noter qu’environ 45% du total est lié à une transaction financière intra-entreprise en Afrique du Sud.
« Si nous excluons cette transaction, l'augmentation des flux d'IDE vers l'Afrique, tout en restant positive, serait plus conforme à ce que nous avons observé dans d'autres régions en développement », a déclaré James Zhan, Directeur de la division de l'investissement et des entreprises de la CNUCED.
En termes de sous-régions, le rapport note que l'Afrique australe, l'Afrique de l'Est et l'Afrique de l'Ouest ont vu leurs flux d'investissement augmenter, tandis que ceux destinés à l'Afrique centrale sont restés stables et que l'Afrique du Nord a enregistré une baisse.
Selon la CNUCED, les plus gros détenteurs d'actifs étrangers en Afrique sont restés européens, avec en tête les investisseurs du Royaume-Uni (65 milliards de dollars) et de la France (60 milliards de dollars).
Malgré cette forte croissance, les flux d'investissement vers l'Afrique n'ont représenté que 5,2% des IDE mondiaux, contre 4,1% en 2020.
La plupart des pays d'Afrique ont connu une hausse modérée des IDE en 2021. En effet, il est à noter qu’environ 45% du total est lié à une transaction financière intra-entreprise en Afrique du Sud.
« Si nous excluons cette transaction, l'augmentation des flux d'IDE vers l'Afrique, tout en restant positive, serait plus conforme à ce que nous avons observé dans d'autres régions en développement », a déclaré James Zhan, Directeur de la division de l'investissement et des entreprises de la CNUCED.
En termes de sous-régions, le rapport note que l'Afrique australe, l'Afrique de l'Est et l'Afrique de l'Ouest ont vu leurs flux d'investissement augmenter, tandis que ceux destinés à l'Afrique centrale sont restés stables et que l'Afrique du Nord a enregistré une baisse.
Selon la CNUCED, les plus gros détenteurs d'actifs étrangers en Afrique sont restés européens, avec en tête les investisseurs du Royaume-Uni (65 milliards de dollars) et de la France (60 milliards de dollars).