Un musulman grièvement blessé à Bangui. Photo : Sources
(Alwihda Info) - Dès le déclenchement de la crise centrafricaine, les autorités du Tchad ont à maintes reprises demandé à leurs citoyens d'éviter toute répercussions à l'encontre des frères centrafricains vivant au Tchad. Malgré les atrocités commises injustement contre les paisibles citoyens tchadiens vivant en Centrafrique, malgré les images insupportables passées en boucles à la télé, malgré l'arrivée en masse au Tchad des survivants des atrocités ayant perdu des proches, malgré l'approbation de ce nettoyage éthnico-religieux par la plupart d'intellectuels centrafricains, malgré et malgré.....on doit reconnaître avec fierté que les tchadiens sont d'une tolérance exceptionnelle qu'on doit écrire dans les annales de l'histoire.
Pendant que les criminels antibalaka, suceur de sang et mangeur de la chair humaine s'attaquent aux convois des rescapés tchadiens qui veulent fuir, laissant derrière eux toute leur histoire, tous leurs biens, la surprise vient du Tchad lorsque la présidente de transition séjournait pour une visite officielle. La surprise est de voir la colonie centrafricaine vivant au Tchad venir a l'aéroport accueillir la présidente de transition en chantant et dansant ou aller à son lieu de résidence pour fêter son arrivée, sans aucune inquiétude pour sa sécurité. Aucun centrafricain n'a été inquiet pour sa sécurité et tous sont protégés, assurés, soutenus par la population tchadienne.
Pendant que les criminels antibalaka, suceur de sang et mangeur de la chair humaine s'attaquent aux convois des rescapés tchadiens qui veulent fuir, laissant derrière eux toute leur histoire, tous leurs biens, la surprise vient du Tchad lorsque la présidente de transition séjournait pour une visite officielle. La surprise est de voir la colonie centrafricaine vivant au Tchad venir a l'aéroport accueillir la présidente de transition en chantant et dansant ou aller à son lieu de résidence pour fêter son arrivée, sans aucune inquiétude pour sa sécurité. Aucun centrafricain n'a été inquiet pour sa sécurité et tous sont protégés, assurés, soutenus par la population tchadienne.
La président centrafricaine Catherine Samba Panza accueillie par le président tchadien Idriss Deby le 17 février 2014 à N'Djamena (Photo Brahim Adji. AFP)
Voila la culture tchadienne de tolérance. Certes, les défenseurs des des criminels antibalaka vont toujours trouvé quelque chose à dire. Ceux qui justifient les atrocités contre les paisibles citoyens tchadiens et ceux qui sont incapables de condamner le nettoyage éthnico-religieux sont les vrais criminels.
Enfin, une chose est sûre : nous sommes tolérants mais nous sommes sûrs que les criminels seront poursuivis par la justice.
Enfin, une chose est sûre : nous sommes tolérants mais nous sommes sûrs que les criminels seront poursuivis par la justice.