Intervenant au nom du ministre des Mines, du Pétrole et de l’Energie, Mamadou Sangafowa-Coulibaly, le directeur de cabinet adjoint, Souleymane Soro a procédé ce jeudi 10 octobre 2024, à Abidjan, au lancement des audits énergétiques obligatoires, en application du décret n° 2016-862 du 03 novembre 2016 fixant les modalités, conditions et obligations, pour la mise en œuvre de la maitrise d’énergie.
Selon Souleymane Soro, la demande intérieure en énergie connaît une croissance annuelle de plus de 10%. Une telle dynamique, impulsée par le développement des activités économiques et les progrès sociaux, crée une réelle tension sur l’équilibre entre l’offre et la demande d’énergie électrique aux heures de pointe notamment, ainsi que sur l’équilibre financier du secteur de l’électricité, a-t-il fait savoir.
Le directeur de cabinet adjoint a rappelé que les audits énergétiques obligatoires sont une réponse à la problématique de la surconsommation des ressources en énergie primaire, indispensables à la production d’électricité. Ce qui constitue un risque d’insécurité énergétique aux effets dévastateurs.
Bien que disposant d’une énergie suffisante pour la satisfaction des besoins intérieurs et de certains de ses voisins dans le cadre du système régional d’échange d’énergie, la Côte d’Ivoire a compris la nécessité de promouvoir également une politique de maitrise de l’énergie pour assurer sa sécurité énergétique, a expliqué le directeur général de l’Energie, Ehouman Kalifa.
Par ailleurs, il a précisé que la Côte d’ivoire a enregistré d’importants résultats dans son ambition de devenir le hub énergétique de la sous-région, en fournissant à ses populations une énergie abondante, fiable, abordable et respectueuse de l’environnement. L’audit énergétique est une démarche cruciale pour identifier les opportunités d’économies d’énergie et améliorer l’efficacité énergétique.
En analysant les modèles de consommation et en repérant les domaines où l’énergie est gaspillée, il permet non seulement de réduire les coûts énergétiques, mais aussi de diminuer l’empreinte carbone. En outre, l’audit énergétique est un outil stratégique pour atteindre les objectifs en matière de durabilité et de réduction des émissions.
En rendant cet audit obligatoire, l'État encourage une gestion responsable des ressources, favorisant ainsi un développement durable. Le directeur de cabinet adjoint, Souleymane Soro et le directeur général de l’Energie, Ehouman Kalifa ont tous deux exprimé la gratitude du gouvernement à l’Union européenne et à la Coopération allemande, pour leur appui financier à la mise en œuvre du projet d’audits énergétiques obligatoires.
Selon Souleymane Soro, la demande intérieure en énergie connaît une croissance annuelle de plus de 10%. Une telle dynamique, impulsée par le développement des activités économiques et les progrès sociaux, crée une réelle tension sur l’équilibre entre l’offre et la demande d’énergie électrique aux heures de pointe notamment, ainsi que sur l’équilibre financier du secteur de l’électricité, a-t-il fait savoir.
Le directeur de cabinet adjoint a rappelé que les audits énergétiques obligatoires sont une réponse à la problématique de la surconsommation des ressources en énergie primaire, indispensables à la production d’électricité. Ce qui constitue un risque d’insécurité énergétique aux effets dévastateurs.
Bien que disposant d’une énergie suffisante pour la satisfaction des besoins intérieurs et de certains de ses voisins dans le cadre du système régional d’échange d’énergie, la Côte d’Ivoire a compris la nécessité de promouvoir également une politique de maitrise de l’énergie pour assurer sa sécurité énergétique, a expliqué le directeur général de l’Energie, Ehouman Kalifa.
Par ailleurs, il a précisé que la Côte d’ivoire a enregistré d’importants résultats dans son ambition de devenir le hub énergétique de la sous-région, en fournissant à ses populations une énergie abondante, fiable, abordable et respectueuse de l’environnement. L’audit énergétique est une démarche cruciale pour identifier les opportunités d’économies d’énergie et améliorer l’efficacité énergétique.
En analysant les modèles de consommation et en repérant les domaines où l’énergie est gaspillée, il permet non seulement de réduire les coûts énergétiques, mais aussi de diminuer l’empreinte carbone. En outre, l’audit énergétique est un outil stratégique pour atteindre les objectifs en matière de durabilité et de réduction des émissions.
En rendant cet audit obligatoire, l'État encourage une gestion responsable des ressources, favorisant ainsi un développement durable. Le directeur de cabinet adjoint, Souleymane Soro et le directeur général de l’Energie, Ehouman Kalifa ont tous deux exprimé la gratitude du gouvernement à l’Union européenne et à la Coopération allemande, pour leur appui financier à la mise en œuvre du projet d’audits énergétiques obligatoires.