Des cargaisons d'armes en partance pour le Tchad interceptées par la police soudanaise. © DE
C'est devenu un rituel. Tous les deux à trois jours, la police soudanaise intercepte des cargaisons d'armes en partance pour le Tchad ou la Centrafrique, deux pays où les conflits intercommunautaires se développent et affectent la cohabitation pacifique.
La semaine dernière, les autorités de la province de Dar Sila ont exposé une quantité importante d'armes reprises des mains des civils. Que ces armes proviennent du Soudan n'est qu'un secret de polichinelle.
Dans ce pays post-El Béchir, le général Hemmeti, l'homme fort et chef de la milice des Forces de soutien rapide (FSR) aux intentions qui restent encore floues, entretient une milice forte de 50.000 hommes possédant un arsenal militaire important.
Ce matin, selon le journal soudanais Kush News, les autorités régulières ont mis la main sur 3.780 cartouches et armes cachées à l'intérieur d'un bus dans la région de Qalabat. Ces armes étaient destinées à un pays voisin.
La semaine dernière, les autorités de la province de Dar Sila ont exposé une quantité importante d'armes reprises des mains des civils. Que ces armes proviennent du Soudan n'est qu'un secret de polichinelle.
Dans ce pays post-El Béchir, le général Hemmeti, l'homme fort et chef de la milice des Forces de soutien rapide (FSR) aux intentions qui restent encore floues, entretient une milice forte de 50.000 hommes possédant un arsenal militaire important.
Ce matin, selon le journal soudanais Kush News, les autorités régulières ont mis la main sur 3.780 cartouches et armes cachées à l'intérieur d'un bus dans la région de Qalabat. Ces armes étaient destinées à un pays voisin.