Alors que l'on commémore depuis le 7 avril les 20 ans du génocide rwandais, des chercheurs de l'université de Sydney en Australie, ont créé un modèle prédisant quels pays sont les plus susceptibles de connaître des violences massives et ciblées à l'avenir.
Connu comme le Atrocity Forecasting Project (Projet de prévision des atrocités), le modèle met en jeu plus d'une douzaine de «variables d'instabilité», selon le site Defense One, qui rapporte l'information. Parmi ces variables: des statistiques sur les guerres civiles, les changements de régimes, le taux d'homicide, ou encore le cas de génocides précédents.