Désengagés de Boko Haram au Tchad : des fonctionnaires formés sur la gestion des données. © Alwihda Info
Le Centre d'études pour le développement et la prévention de l'extrémisme (CEDPE) forme depuis ce lundi les agents du ministère de la Femme, de la Petite enfance et de la Solidarité nationale sur la méthodologie et la gestion de la base de données des désengagés de Boko Haram.
Cette formation s'inscrit dans le cadre du renforcement des capacités des agents dans le processus d'encadrement des désengagés de Boko Haram.
Le président du CEDPE, Dr. Ahmat Yacoub Dabio, a indiqué dans son allocution que la formation a pour objectif d'organiser et de coordonner les étapes en vue de mener à bien le projet.
"Malgré les difficultés que nos agents ont rencontré lors du profilage des désengagés de Boko Haram, nous continuons à lutter, à travailler et à profiler ces désengagés. Avant, l'Etat tchadien n'a pas mis la main à la patte pour nous soutenir mais ces derniers temps, il nous épaule dans toutes les activités", a-t-il expliqué.
"Les autres doivent comprendre que cette tâche n'est pas facile à gérer. Nous avons utilisé toutes les portes possibles pour avoir accès et profiler ces personnes", a ajouté Dr. Ahmat Yacoub Dabio qui a appelé à déployer plus d'efforts pour que les désengagés puissent revenir à la vie normale et vivre comme les autres.
Cette formation s'inscrit dans le cadre du renforcement des capacités des agents dans le processus d'encadrement des désengagés de Boko Haram.
Le président du CEDPE, Dr. Ahmat Yacoub Dabio, a indiqué dans son allocution que la formation a pour objectif d'organiser et de coordonner les étapes en vue de mener à bien le projet.
"Malgré les difficultés que nos agents ont rencontré lors du profilage des désengagés de Boko Haram, nous continuons à lutter, à travailler et à profiler ces désengagés. Avant, l'Etat tchadien n'a pas mis la main à la patte pour nous soutenir mais ces derniers temps, il nous épaule dans toutes les activités", a-t-il expliqué.
"Les autres doivent comprendre que cette tâche n'est pas facile à gérer. Nous avons utilisé toutes les portes possibles pour avoir accès et profiler ces personnes", a ajouté Dr. Ahmat Yacoub Dabio qui a appelé à déployer plus d'efforts pour que les désengagés puissent revenir à la vie normale et vivre comme les autres.