L'ONU, les Etats-Unis et l'Union européenne qui ont appelé à la fin de la détention par l'armée du président déchu et de plusieurs de ses conseillers, ont fermement condamné le massacre des manifestants.
Samedi,à l'aube, les forces de l'ordre ont ouvert le feu sur les manifestants faisant plus de deux cents morts et environ 5 000 blessés. C'est la nuit la plus violente dans l'histoire de l'Egypte. Ce massacre intervient quelques heures après la fin de l'ultimatum militaire appelant les proMorsi à vider les lieux. Le nombre total de morts depuis le 30 juin atteint 2200, selon les organisations de défense des droits de l'homme. La majorité de morts appartiennent aux partisans du président déchu. Prenant la parole, Salah Soultane, membre du conseil islamique, a dénoncé l'intervention militaire contre des manifestants pacifiques pro-Morsi. Pleurant devant la caméra, le médecin directeur de l'hôpital de Rabi al-adawya à évoqué avec peine et regret le nombre important de morts et de blessés, appelant l'armée à prendre ses responsabilités face aux pusthistes qui commettent des crimes", selon ses propres dires. Intervenant à son tour dans une conférence de presse, le ministre de l'intérieur égyptien a démenti toute intervention des forces de l'ordre. Les autorités militaires et policières ont toujours démenti avoir ouvert le feu sur des manifestants.
Les Frères musulmans dénoncent un retour à l'ère Moubarak. Les islamistes et les nouvelles autorités militaires se font face dans la rue, dans une nouvelle épreuve de force. Les généraux ont déployé une armada bloquant tous les axes menant aux artères des ronds points où se déroulent des manifestations des deux camps. Dans la rue de Nasr, les forces de l'ordre ont lancé des bombes lacrymogènes, empêchant des manifestations pro-Morsi d'installer des tentes. L'armée a souligné que l'intervention des forces de l'ordre consistait à déloger des manifestants voulant bloquer le pont du 6 octobre.
Samedi,à l'aube, les forces de l'ordre ont ouvert le feu sur les manifestants faisant plus de deux cents morts et environ 5 000 blessés. C'est la nuit la plus violente dans l'histoire de l'Egypte. Ce massacre intervient quelques heures après la fin de l'ultimatum militaire appelant les proMorsi à vider les lieux. Le nombre total de morts depuis le 30 juin atteint 2200, selon les organisations de défense des droits de l'homme. La majorité de morts appartiennent aux partisans du président déchu. Prenant la parole, Salah Soultane, membre du conseil islamique, a dénoncé l'intervention militaire contre des manifestants pacifiques pro-Morsi. Pleurant devant la caméra, le médecin directeur de l'hôpital de Rabi al-adawya à évoqué avec peine et regret le nombre important de morts et de blessés, appelant l'armée à prendre ses responsabilités face aux pusthistes qui commettent des crimes", selon ses propres dires. Intervenant à son tour dans une conférence de presse, le ministre de l'intérieur égyptien a démenti toute intervention des forces de l'ordre. Les autorités militaires et policières ont toujours démenti avoir ouvert le feu sur des manifestants.
Les Frères musulmans dénoncent un retour à l'ère Moubarak. Les islamistes et les nouvelles autorités militaires se font face dans la rue, dans une nouvelle épreuve de force. Les généraux ont déployé une armada bloquant tous les axes menant aux artères des ronds points où se déroulent des manifestations des deux camps. Dans la rue de Nasr, les forces de l'ordre ont lancé des bombes lacrymogènes, empêchant des manifestations pro-Morsi d'installer des tentes. L'armée a souligné que l'intervention des forces de l'ordre consistait à déloger des manifestants voulant bloquer le pont du 6 octobre.
Les généraux ont donné quarante huit heures au camp du président déchu pour vider les rues et soutenir le nouveau régime issu du coup d’état. Pour le ministre de l'intérieur, la manifestation des pro Morsi sera dispersée par la voie juridique (Reuters).
Evitant la forte pression de la communauté internationale qui s'exerce sur eux pour la libération du président déchu, les putschistes ont actionné la justice pour ordonner la détention officielle de Mohamed Morsi, pour complicité présumée avec le Hamas début 2011.
Lire aussi: http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-orient/egypte-la-diabolisation-des-freres-musulmans_1269260.html
Evitant la forte pression de la communauté internationale qui s'exerce sur eux pour la libération du président déchu, les putschistes ont actionné la justice pour ordonner la détention officielle de Mohamed Morsi, pour complicité présumée avec le Hamas début 2011.
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